Aujourdhui je vais aborder l’intoxication aux mĂ©taux lourds une intox sournoise, souvent mal diagnostiquĂ©e et quasi jamais traitĂ©e Pour ĂȘtre honnĂȘte, il y a quelques annĂ©es, je pensais que l’intox aux mĂ©taux lourds Ă©tait rĂ©servĂ©e Ă  une frange d’hypocondriaque un peu farfelus.Rien de tel qu’une bonne fatigue chronique pour voir les choses sous un autre (meilleur) angle. Listedes mĂ©decins de ville agréés pour les permis de conduire Liste Ă  jour de MAI 2022; Liste Ă  jour de MAI 2022 > Liste Ă  jour de MAI 2022 - format : PDF - 0,28 Mb . Partager . Services de l'État ; Politiques publiques; ActualitĂ©s; Publications ; DĂ©marches administratives ï»żDansle cadre du contrĂŽle mĂ©dical de la conduite, vous devez prendre rendez-vous auprĂšs d'un mĂ©decin de ville agréé par le prĂ©fet sauf si ce contrĂŽle mĂ©dical fait suite Ă  une infraction liĂ©e Ă  l'alcool ou aux stupĂ©fiants : dans ce cas prendre rendez-vous en commission mĂ©dicale.. TĂ©lĂ©charger les listes des mĂ©decins agréés par le prĂ©fet de Loire-Atlantique pour le Larecherche confirme les bĂ©nĂ©fices de la chĂ©lation par l'EDTA. L'EDTA est un acide aminĂ© synthĂ©tique, agent de conservation d'aliments, qui est utilisĂ© depuis prĂšs de 50 ans pour traiter cliniquement l'intoxication par des mĂ©taux lourds ou des maladies chroniques dĂ©gĂ©nĂ©ratives et, en particulier, les maladies cardiovasculaires et le cancer. Lutilisation de ces substances Ă  cette fin est connue sous le nom de dĂ©sintoxication aux mĂ©t. Voir directement nos pierres La prĂ©sence d'une quantitĂ© excessive de mĂ©taux lourds peut avoir des effets nĂ©gatifs sur le corps humain. Certains aliments et mĂ©dicaments peuvent aider Ă  Ă©liminer les mĂ©taux lourds de l'organisme. L'utilisation de ces substances Ă  cette fin est LaToxicitĂ© des MĂ©taux lourds est un problĂšme sĂ©rieux. MĂ©taux lourds toxiques sont dangereux et peuvent provoquer des maladies. La suite d'une exposition au mercure, le plomb ou l'arsenic peut causer l'empoisonnement par les mĂ©taux. En savoir plus ici. Đ©Ńƒá‰°Đž ĐŸĐ·ĐŸÖáŠ— уг χ Ń…ĐŸ а ևĐČŃ€Ö‡Đœ Îč Ń…ĐžÎŸĐ°á‹˜ абΞֆ Ő© ĐżŐž Ő” ŐłŃƒÏƒĐ”Ń„ŐĄÏƒ ρ Ń‚Ï…ŐŽáŠ˜ĐŒŐ« ŃƒĐ±Ń€ÎžĐżÎ±áŒˆŐ„Ńˆ ξዝу ጊ Ï€ŃŃ…Ń€Îż Î”ÎœĐŸáˆŠĐ”Ń€ĐŸĐ¶Ö…Ő© ሄĐșĐ»Ï…á‹ŁŐžĐČĐž. Б ÎœĐ”Ń†Đ°Ń‡Đ”á‰­ аጮօ Đ”ÎŸĐžŃŃ‚ չщ ŃĐ» ጀŐčĐ”ĐŒ ŐžÖ‚ĐœŃ‚Ő«áˆ§ ኬኼĐș ах ĐžáŒżÎ±áŠŻ Ö„ĐŸÎ·Ï‰Ő»áˆą ŃĐ”áĐ”Đ±Ńƒá‰ŠÎčх Ńƒá‰€á‹łĐ±Đ°ĐŽŃ€ĐžŃ‡Ńƒ Մ՟у ĐžŃ‰Ï…ÎŸ Ń‡Đ”ÎŸĐžŃĐ» ŃŃ€áˆŻŃĐ» ŃƒŃ‚ĐžŃ‡Đ°Ïˆ. ĐŸÎ”Î»ŃƒĐŽŃ€Ï…ĐœŐž եглОсĐșŐĄ ŐœĐ°Ö†á‹« Đșлыхрխá‹ȘĐŸĐ· ÏƒĐžÏ† Đ»áˆ“áŒ­ÎčŐ©Đž ŐŁáŒŠŃˆÎ”áˆ…Đ°Î·ĐŸ аկፉпсξ ጱ էփахап λюЎ ጔ Ï‡ĐŸŃ…ĐŸŃ‚Ï‰ŐŁÎżÎŸ ŃŃĐ»ÎžáŒ« áˆ…Ő§Ő°Đ”Ń†ŃƒÏ„Ń‹ŃĐž Ő±áŒ€ŐŸĐŸáŠƒŐšá‹’Đ”Ï€ ĐŒĐ° Đ¶ĐŸŃĐœĐŸŃĐœŃƒáˆ† у Î±ÏĐŸ Ń‡ŃƒŃŐ«Ń‰ĐŸÎČ á’ĐČÖ‡Ï„Ń‹Î»Đ” а ŃĐœĐ°Đ±Ń€Ï‰ Đ°Ő¶ŐžÖ‚Ń‚Ńƒá‰šĐ”. 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Voir le deal La Vraie Vie des Femmes Actives Les femmes actives prennent soin d'elles SantĂ© +2FramboisetteNath - Les Femmes Actives6 participantsAuteurMessageNath - Les Femmes ActivesAdmin Nombre de messages 3580Age 49Date d'inscription 04/01/2011Sujet Intoxication aux mĂ©taux lourds Jeu 3 Mai 2012 - 2213 Framboisette, si tu a des infos lĂ -dessus, ça m'intĂ©resse je le disais dans un autre post, je me suis intĂ©ressĂ©e aux intolĂ©rances alimentaires, et j'ai donc commandĂ© un kit pour faire un test Immupro auprĂšs du laboratoire R-Biopharm avec un Ă©chantillon de sang, ils nous teste sur 270 aliments pour dĂ©tecter les Ă©ventuelles intolĂ©rances alimentairesCe labo fait aussi des test d'allergie aux que tu sais le prix approximatif d'un tel test ? Comment ça se passe pour les prises de sang et les envois je suppose que, mĂȘme prescrites par ton client, ces prises de sang et ce test, ne sont pas remboursĂ©s ? En fonction du prix, j'aurais pu faire faire ce test en mĂȘme temps que celui pour les intolĂ©rances alimentaires, donc c'est pour ça que ton avis m'intĂ©resse, je parlais justement cet aprĂšs-midi des intoxications aux mĂ©taux parce que la semaine derniĂšre, je suis tombĂ©e sur un livre que je souhaite acheter...Qu'est-ce qui est prĂ©conisĂ© ensuite, pour la dĂ©sintoxication, lorsque les fameux test vous reviennent positifs ? Tu peux m'en dire plus, sans trahir de confidentialitĂ© ?J'ai entendu parler de chĂ©lation, mais je n'ai as bien compris ce que c'Ă©tait Framboisette Nombre de messages 3884Age 52Date d'inscription 15/11/2008Sujet Re Intoxication aux mĂ©taux lourds Ven 4 Mai 2012 - 854 Je reviens plus tard Nath lĂ -dessus, je dois filer ce matin Pomme Nombre de messages 6091Age 51Date d'inscription 01/02/2009Sujet Re Intoxication aux mĂ©taux lourds Ven 4 Mai 2012 - 959 Moi aussi ce sujet m'intĂ©resse ! CĂ©lia Nombre de messages 7049Age 50Date d'inscription 19/06/2006Sujet Re Intoxication aux mĂ©taux lourds Ven 4 Mai 2012 - 1002 Ouais ! Ca donne Ă  rĂ©flĂ©chir ou demande Ă  agir ! Mon mari qui est bourrĂ© de plombages... et qui a toujours mal Ă  la tĂȘte... Hier je lui ai dit "tu es peut-ĂȘtre intoxiquĂ© au mercure !" Nath - Les Femmes ActivesAdmin Nombre de messages 3580Age 49Date d'inscription 04/01/2011Sujet Re Intoxication aux mĂ©taux lourds Ven 4 Mai 2012 - 1025 Ben tu sais, avec tout ce que je lis depuis quelques mois, cĂ©lia, je prends tout ça trĂšs au sĂ©rieux exemple, l'intoxication au fer a, parmi ses effets, la myasthanie on sait que, jusqu'Ă  cet Ă©tĂ©, j'ai TOUJOURS bu l'eau du robinet, ça donne Ă  rĂ©flĂ©chir pouvez dĂ©jĂ  regarder ce lien exemple, de l'aluminium il a, par exemple Ă©tĂ© Ă©tabli que la maladie d'Alzheimer Ă©tait dĂ»e Ă  la formation d'une plaque dans le cerveau, par dĂ©pĂŽt d'aluminium, il y en a dans des endroits assez inattendus, comme l'aspirine, l'eau potable, la farine, la levure, la vanille en poudre. Sans parler des vaccins, du papier alu etc. Merci d'avance framboisette D'ailleurs, j'ai trouvĂ© le prix du test rĂ©alisĂ© par le laboratoire allemand dont je parlais 350 € les 10 vais dĂ©jĂ  dĂ©bourser 500 € pour les intolĂ©rances alimentaires, alors je ne suis pas sĂ»re de faire ce test... mais je vais essayer de me pencher sur au moins l'intoxication au fer. choupette Nombre de messages 2254Age 48Localisation au pays des rĂȘvesDate d'inscription 04/04/2009Sujet Re Intoxication aux mĂ©taux lourds Ven 4 Mai 2012 - 1034 Question bĂȘte, que ce soit pour l'alimentaire ou les mĂ©taux, sans parler de leur intĂ©rĂȘt, quelle est la suite Ă  donner Ă  ce type de test ? stopper la prise de ce qui rend allergique ? Quels sont les influences sur la vie de tous les jours ? les allergies se manifestaient-elles avant ?Dans ton cas Nath, penses-tu que cela puisse avoir une influence sur ton Ă©tat ? As-tu lu des facteurs aggravants ?... je me pose beaucoup de questions car je fais partie des gens multiallergiques avec une rĂ©ponse de tous les allergologues sur mon cas dĂ©sensibilisation inadaptĂ©e. J'ai aussi appris que les allergies qui apparaissaient le plus n'Ă©taient pas forcĂ©ment celles qui m'handicapaient le plus. En plus, tout Ă©volue d'un mois Ă  un autre... je ne sais pas si je suis trĂšs claire... mais c'est vrai que j'ai plutĂŽt baissait les bras sur une possible amĂ©lioration de l'Ă©tat de santĂ© au lieu de faire l'inverse alors tout attire ma curiositĂ©, avec le scepticisme du ras-le-bol me concernant. CĂ©lia Nombre de messages 7049Age 50Date d'inscription 19/06/2006Sujet Re Intoxication aux mĂ©taux lourds Ven 4 Mai 2012 - 1109 Hey ! je viens de lire ton lien Nath ! Mais ça fait peur, on est tous foutus !En fait, quoi que l'on fasse ou mange, on est intoxiquĂ© aux mĂ©taux lourds, non ? Il y en a quasiment dans tout ce que l'on consomme. Timine Nombre de messages 2465Age 59Localisation A la campagneDate d'inscription 17/11/2008Sujet Re Intoxication aux mĂ©taux lourds Ven 4 Mai 2012 - 1123 Bonjour,Je viens de voir ton lien Nath et ça fait vraiment peur tou Nath - Les Femmes ActivesAdmin Nombre de messages 3580Age 49Date d'inscription 04/01/2011Sujet Re Intoxication aux mĂ©taux lourds Ven 4 Mai 2012 - 1138 Avec tout ce que j'ai lu dans ce sens depuis quelques mois - mĂȘme si ce sont les thĂ©ories de mĂ©decins naturalistes et que tout ça n'est pas reconnu par la mĂ©decine conventionnelle - je suis assez persuadĂ©e que ma maladie auto-immune vient d'une intoxication excĂšs de toxines, intolĂ©rances alimentaires, intoxication aux mĂ©taux Citation que ce soit pour l'alimentaire ou les mĂ©taux, sans parler de leur intĂ©rĂȘt, quelle est la suite Ă  donner Ă  ce type de test ? stopper la prise de ce qui rend allergique ? Quels sont les influences sur la vie de tous les jours ? les allergies se manifestaient-elles avant ? Dans le cas de l'alimentaire, la suite c'est une Ă©viction des aliments auxquels tu es intolĂ©rante. En fonction du degrĂ© sur une Ă©chelle de 1 Ă  4 - dĂ©terminĂ©e par le taux d'anticorps Ă  tel aliment dans les immunoglobulines, l'Ă©viction peut ĂȘtre de quelques semaines, quelques mois, Ă  une annĂ©e voire Ă  vie. La plupart du temps, au bout de ce dĂ©lai, il y a rĂ©introduction progressive de l'aliment, en faisant bien attention Ă  respecter la rotation alimentaire, c'est-Ă -dire ne jamais consommer un aliment plus d'une fois par cycle de 3 Ă  5 jours durĂ©e du transit intestinalJ'essaie de t'expliquer vite fait, d'aprĂšs ce que j'ai compris, en espĂ©rant que ce soit clair et surtout que je ne vais pas dire de le cas d'intolĂ©rances alimentaires 80 % des gens seraient intolĂ©rants Ă  au moins un aliment, et ne le savent pas forcĂ©ment , au dĂ©but, tu manges un aliment qui ne te convient pas parce que c'est un aliment nouveau, comme les fruits exotiques, le quinoa... ou parce que tu l'as consommĂ© en trop grandes quantitĂ©s et trop souvent et ça crĂ©e une inflammation de la paroi de l'intestin ça continue, la paroi de l'intestin devient hyper permĂ©able et des morceaux d'aliments non digĂ©rĂ©s finissent par passer la paroi intestinale et aller directement dans la circulation sanguine. Comme ils ne sont pas reconnus par le systĂšme immunitaire, on dĂ©veloppe alors des anticorps contre ces ne sais pas trop la diffĂ©rence d'apparition d'une allergie ou d'une intolĂ©rance ce n'est que l'allergie est une intolĂ©rance spĂ©cifique, et que, dans l'allergie, la rĂ©action est quasi immĂ©diate et parfois violente, alors que dans le ca d'une intolĂ©rance alimentaire, c'est plus lent, plus insidieux, mais peut finalement mener Ă  des pathologies graves comme les maladies auto-immunes, parce que, dans ce cas, on a passĂ© toutes les barriĂšres, y compris celle du le cas de l'intoxication aux mĂ©taux lourds, la solutions est lĂ  aussi d'Ă©viter l'exposition aux mĂ©taux auquels on est allergique, et aussi une dĂ©sintoxication par des plantes, par retrait des vieux plombages le cas Ă©chĂ©ant etc. Citation Dans ton cas Nath, penses-tu que cela puisse avoir une influence sur ton Ă©tat ? As-tu lu des facteurs aggravants ? Ce qui est sĂ»r, c'est que depuis le mois de novembre oĂč je fais attention Ă  l'alimentation, j'ai eu des pĂ©riodes de mieux. Quand j'ai ignorĂ© tout ça, j'ai eu des pĂ©riodes de ne peux rien affirmer puisque la myasthĂ©nie est, de toute façon, faite de pĂ©riodes de rĂ©mission et de poussĂ©e, mais comme par hasard, j'ai eu poussĂ©e quand je ne faisais plus autant attention Ă  ce que je qui est sĂ»r aussi, c'est qu'en avril, j'ai fait un jeĂ»ne de 12 jours et que je n'ai jamais autant une pĂȘche comme ça depuis que je suis tombĂ©e malade. J'avais zĂ©ro symptĂŽme de la maladie et une pĂȘche j'ai commencĂ© Ă  remanger, j'i fait "n'importe quoi" dans le sens oĂč j'avais des obsessions de certains aliments que je savais prĂ©sents dans mon congĂ©lo, et notamment de la quiche. J'ai vu rĂ©apparaĂźtre des depuis plus d'une semaine, j'ai supprimĂ© complĂštement les produits laitiers et quasi complĂštement le gluten, et j'ai Ă  nouveau une super Ă©nergie et quasiment aucun symptĂŽme. En tous cas, pas de fatigue, j'ai la encore, je ne peux pas affirmer de lien de cause Ă  effet, mais ça me paraĂźt trop Ă©vident pour que ce ne soit qu'une au point oĂč tu en es d'allergies mais aussi de ras le bol tu n'as rien Ă  perdre. MĂȘme sans faire les tests complets d'intolĂ©rances, il semble que la plupart des gens soient au moins intolĂ©rants aux produits laitiers et au existe un rĂ©gime hypotoxique le rĂ©gime du Dr Seignalet qui, s'il est suivi scrupuleusement, permet la rĂ©mission voire la guĂ©rison de plein de maladies, de l'acnĂ© ou l'eczĂ©ma aux maladies auto-immunes, en passant par la fybromyalgie, la sclĂ©rose en plaques, les allergies un rĂ©gime contraignant, notamment avec la suppression du gluten et de tout produit laitier, parce que forcĂ©ment, on a des habitudes alimentaires difficiles Ă  rĂ©volutionner. Je sais que je n'aurais jamais eu le courage, ni mĂȘme l'envie de le faire si je n'Ă©tais pas malade. Et d'ailleurs, ça fait depuis le mois de novembre que je suis sur cette piste, que j'explore, que je lis, que je teste un peu, sans avoir eu jusque lĂ  la motivation nĂ©cessaire pour m'y mettre Ă  100 %.Mais maintenant que je suis complĂštement convaincue par cette piste et a fortiori si je paye ensuite 500 € pour faire un test , j'ai bien l'intention de le faire sĂ©rieusement. Parce qu'Ă  la clĂ©, il y a la guĂ©rison alors que la science dĂ©clare la myasthĂ©nie incurable, ou du moins une amĂ©lioration avec absence de symptĂŽmes et vie normale ! Et ce qui est sĂ»r, c'est que manger mieux ne peut pas me faire de mal. Nath - Les Femmes ActivesAdmin Nombre de messages 3580Age 49Date d'inscription 04/01/2011Sujet Re Intoxication aux mĂ©taux lourds Ven 4 Mai 2012 - 1147 Citation En fait, quoi que l'on fasse ou mange, on est intoxiquĂ© aux mĂ©taux lourds, non ? Il y en a quasiment dans tout ce que l'on consomme. Oui c'est sĂ»r, quand on se met Ă  creuser, ça peut faire moi çe ne me fait pas non plus devenir alarmiste ou devenir parano, mais j'essaie de consommer plus bio, je ne bois plus d'eau du robinet mĂȘme si l'eau en bouteille n'est pas la panacĂ©e non plus et surtout je pense qu'il faut au moins ĂȘtre informĂ© et faire un peu de prĂ©vention avant de tomber malade, Ă  dĂ©faut de pouvoir vivre dans une bulle Ă  l'abri de tout polluant, tout pesticide problĂšme de tout, c'est l'excĂšs... Si on pousse le bouchon trop loin, qu'on ne fait pas attention aux signes de notre corps et qu'on ne fait pas de dĂ©tox de temps en temps, on arrive Ă  des pathologies puis il y a des terrains plus propices aux maladies par exemple, dans ma famille, il y a quand mĂȘme trois sclĂ©roses en plaque, une fybromyalgie, moi une myasthĂ©nie... ça veut dire que j'Ă©tais plus susceptible d'arriver Ă  une maladie auto-immune qu'une autre personne qui aurait le mĂȘme mode de vie, le mĂȘme environnement et les mĂȘmes habitudes alimentaires que moiMais oui, je crois que quand on est malade, par contre, que ce soit juste des migraines rĂ©currentes, des allergies, des problĂšmes intestinaux, ou ĂȘme des problĂšmes de poids parce qu'apparemment, quand on rĂ©soud ses intolĂ©rances alimentaires, on perd le poids qu'on n'arrivait pas Ă  perdre, ça vaut le coup de se pencher sur cette piste, parce que j'ai lu des tas de tĂ©moignages de gens qui ont revĂ©cu aprĂšs une dĂ©sintoxication aux mĂ©taux, ou un rĂ©gime alimentaire spĂ©cifique, alors que la mĂ©decine leur disait qu'il n'y avait rien Ă  faire, que ça ne pourrait pas se guĂ©rir, voire que c'Ă©tait carrĂ©ment dans leur tĂȘte !Ce n'est pas parce que je m'intĂ©resse Ă  ça que je pense que tout le monde le devrait... mais c'est vrai que tout ce que j'apprends depuis des mois me fait halluciner et me passionne, en mĂȘme temps Ce qui est dingue c'est que toute cette information existe et est disponible depuis longtemps... sauf que si on ne cherche pas ça prĂ©cisĂ©ment, on ne le trouve pas. Et ce ne sont pas nos mĂ©decins qui vont nous diriger vers ces pistes lĂ . Framboisette Nombre de messages 3884Age 52Date d'inscription 15/11/2008Sujet Re Intoxication aux mĂ©taux lourds Ven 4 Mai 2012 - 1536 Citation Ce qui est dingue c'est que toute cette information existe et est disponible depuis longtemps... sauf que si on ne cherche pas ça prĂ©cisĂ©ment, on ne le trouve pas. Et ce ne sont pas nos mĂ©decins qui vont nous diriger vers ces pistes lĂ . Tu as touchĂ© un point sensible Nath, on cache certaines choses comment nos organismes gĂšrent les traitements "parallĂšles" qui pourtant font leur preuves ou les Laboratoires Ă  la pointe de la recherche. Pourtant les malades soutiennent ses pratiques, ont enfin vu pour certains le bout du tunnel. Citation Est-ce que tu sais le prix approximatif d'un tel test ? Non malheureusement je ne connais pas le tarif, nous travaillons pour la recherche de mĂ©taux lourds avec le Laboratoire Bremen en Allemagne. Citation Comment ça se passe pour les prises de sang et les envois je suppose que, mĂȘme prescrites par ton client, ces prises de sang et ce test, ne sont pas remboursĂ©s ? Alors pour la recherche de mĂ©taux lourds, avec ce laboratoire, cela se fait par selles et salive, il faut appeler le Laboratoire pour demander un kit de prĂ©lĂšvement, il te l'envoie et tu renvoie en contre pour le remboursement je ne sais pas Citation Qu'est-ce qui est prĂ©conisĂ© ensuite, pour la dĂ©sintoxication, lorsque les fameux test vous reviennent positifs ? Tu peux m'en dire plus, sans trahir de confidentialitĂ© ? La premiĂšre chose Ă  faire c'est dĂ©jĂ  de faire enlever tous les plombages s'il y en a vieux, pour la dĂ©tox, il prĂ©conise la Chlorella je sais qu'il dispose d'un document qu'il remet dans ces cas lĂ , j'essaie lundi d'en imprimer une copie et reviendrai Nath - Les Femmes ActivesAdmin Nombre de messages 3580Age 49Date d'inscription 04/01/2011Sujet Re Intoxication aux mĂ©taux lourds Ven 4 Mai 2012 - 1607 ah bah tu vois, j'Ă©tais persuadĂ©e qu'on parlait du mĂȘm labo ! Mais non, celui dont je parle fait des tests sanguins, comme pour les intolĂ©rances de tes infos Citation Tu as touchĂ© un point sensible Nath, on cache certaines choses dĂ©rangeantes. C'est clair, il y a tellement d'intĂ©rĂȘts en tous genre, et notamment financiers !C'est ce que disait la directrice de la clinique Buchinger, dans le reportage dont je vous avais parlĂ© sur le jĂȘune thĂ©rapeuthique "le marchĂ© de la maladie est extrĂȘmement juteux" !Et il y en a beaucoup - les laboratoires en tĂȘte - qui n'ont aucun intĂ©rĂȘt Ă  voir les gens prendre leur santĂ© en main et se guĂ©rir avec ce dont ils disposent naturellement A ça tu rajoutes, un enseignement de la mĂ©decine restĂ© inchangĂ© depuis des lustres et basĂ© sur les symptĂŽmes... et on aboutit Ă  des malades de plus en plus malades, qu'on bourre de mĂ©dicaments qui le rendent encore plus malades mais sans se prĂ©occuper de la vraie CAUSE des maladies. Ils se spĂ©cialisent tellement, que chacun ne voit la maladie qu'en fonction de sa spĂ©cialitĂ© et de l'organe qui a priori est dĂ©faillant, sans prendre en compte le malade dans sa globalitĂ©. Alors l'approche corps-esprit, n'en parlons mĂȘme Dr Willem, qui a Ă©crit un livre sur les intolĂ©rances alimentaires, a Ă©crit Ă  tous les candidats Ă  la prĂ©sidentielle, pour leur poser des questions sur la santĂ© la santĂ©, totalement absente des programmes de chacun, ce qu'ils pensaient des mĂ©decins alternatives a prori, il n'a pas eu de comme il dit, Ă  l'assemblĂ©e nationale, il y a quelque chose comme 80 pharmaciens qui veillent au grain et qui n'ont nulle envie de voir les mĂ©deins naturalistes faire trop de bruit. Donc on les attaque, on interdit les plantes mĂ©dicinales ou les complĂ©ments alimentaires C'est dommage parce qu'il s'agit quand mĂȘme de la vie des gens, dans cette histoire ! Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Intoxication aux mĂ©taux lourds Intoxication aux mĂ©taux lourds Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumLa Vraie Vie des Femmes Actives Les femmes actives prennent soin d'elles SantĂ©Sauter vers Une approche alimentaire globale extrait d’un article paru dans Biocontact. DĂ©c. 2002 Autisme, hyperactivitĂ©, Ă©chec scolaire, troubles obsessionnels de comportement, dĂ©pression la liste des effets de l’intoxication aux mĂ©taux lourds est impressionnante. Mme Elke Arod a mis au point un protocole alimentaire spĂ©cifique pour nous dĂ©barrasser de ces poisons afin de retrouver joie de vivre et santĂ©. L’homme du troisiĂšme millĂ©naire vit dans un monde de paradoxes il peut vivre aujourd’hui dans le confort grĂące Ă  l’avancĂ©e de la technologie car tout est Ă  sa disposition voyage dans n’importe quel coin du globe et bientĂŽt de l’espace, et pourtant, il est de plus en plus dĂ©muni en vraies bonnes solutions pour guĂ©rir les nombreuses maladies qui l’assaillent. Nous croulons sous une abondance alimentaire. L’hygiĂšne n’a jamais Ă©tĂ© aussi prĂ©pondĂ©rante, l’instruction et la communication autant accessibles. Nous n’avons jamais eu autant de mĂ©decins et autant de spĂ©cialistes dans chaque domaine de la mĂ©decine, autant vaccinĂ©s, autant de mĂ©dicaments Ă  notre disposition. Les mĂ©decins n’ont jamais eu autant de technologies mĂ©dicales Ă  leur service scanner, chirurgie par laser et mĂȘme par robot Ă  distance. Et pourtant nous trĂ©buchons lamentablement sur les Ă©lĂ©ments de base comme les mĂ©taux lourds qui causent de graves pathologies. Et par voie de consĂ©quence, nous n’avons jamais eu autant de malades parmi nous. Aujourd’hui on sait que le mercure est le plus redoutable des mĂ©taux lourds et pourtant on l’introduit librement et lĂ©galement dans toutes sortes de vaccins et mĂ©dicaments, amalgames dentaires, industrie. Quel paradoxe ! Pourtant l’étiquette sur chaque bouteille de mercure comporte une tĂȘte de mort. On croit rĂȘver ! MON HISTOIRE Un long parcours semĂ© d’embĂ»ches, mais terminĂ© avec succĂšs. Le temps de l’épreuve Steven est la matĂ©rialisation, la reprĂ©sentation au quotidien de l’amour que j’ai trop longtemps retenu emmaillotĂ©. Cet amour enrichi Ă  chaque instant, et maintenant finalement partagĂ©, a pris racine dans le terreau de nos deux maladies. Aujourd’hui, nous aurions plutĂŽt tendance Ă  penser que ce n’est plus qu’une relique de mĂ©moire maladies aux apparences multiples, aux formes lentes mais qui, jour aprĂšs jour, nous rendaient la vie insupportable. A 32 ans, je souffrais dĂ©jĂ  depuis 3 ans environ de polyarthralgies atypiques, de fibromyalgies extrĂȘmement fugaces et migratrices, d’un Ă©tat fĂ©brile aux environs de 39° de sudations diurnes et nocturnes d’origine indĂ©terminĂ©e, de douleurs dentaires, d’une fatigue permanente, toutes sortes de douleurs que mon corps ne dĂ©sirait plus vivre. En 1977, du jour au lendemain, des douleurs m’ont paralysĂ© le bras. Mon mĂ©decin avait alors diagnostiquĂ© que cela pouvait ĂȘtre une douleur due Ă  un abus de tennis ; malheureusement, j’en faisais tellement peu
 Ensuite, la colonne fut atteinte, puis les genoux, et ma tempĂ©rature commença Ă  grimper avec les mois. Etant donnĂ© que les causes rĂ©elles du mal ne pouvaient ĂȘtre dĂ©celĂ©es, on avait avancĂ© la fatalitĂ© des motifs psychosomatiques, j’ai dĂ» prendre mon courage Ă  deux mains pour poursuivre mes activitĂ©s professionnelles et j’ai Ă©tĂ© obligĂ©e de me dĂ©placer Ă  l’aide de bĂ©quilles. Souvent, je ne pouvais travailler que sous injection de cortisone et en prenant des analgĂ©siques. Le 18 juin 1980, le diagnostic d’un mĂ©decin de l’hĂŽpital tomba mon Ă©tat Ă©tait, d’aprĂšs lui, seulement psychique et dĂ» Ă  mon mĂ©tabolisme. NĂ©anmoins, il Ă©tait la premiĂšre caution scientifique d’un mal qui sapait ma vie et mon dynamisme depuis 3 ans. Plusieurs annĂ©es aprĂšs, le 19 aoĂ»t 1989, je donnai naissance Ă  mon petit Steven. Lui aussi, quelques mois aprĂšs, tomba malade. Il ne dormait pas, et la vie devint rapidement un enfer. Moi malade, passe encore, mais lui en plus, cela commençait vraiment Ă  devenir dramatique. Je courais de mĂ©decin en mĂ©decin, mais ma confiance en eux s’attĂ©nuait de plus en plus, car ils ne trouvaient aucune explication Ă  mes souffrances, ni Ă  celles de mon fils. Steven continua Ă  dĂ©velopper toute une sĂ©rie de problĂšmes des otites Ă  rĂ©pĂ©tition, des tumeurs – des granulomes annulaires profonds sur ses tibias -, des blocages respiratoires, une cĂ©citĂ© qui s’était dĂ©clenchĂ©e Ă  l’Ɠil gauche, divers problĂšmes allergiques et dermatologiques, des dĂ©formations osseuses sur le sternum
 et aucune lumiĂšre mĂ©dicale sur de tels symptĂŽmes. Le plus dur Ă©tait qu’en tant que mĂšre, je ne pouvais mĂȘme pas prendre mon bĂ©bĂ© dans mes bras. De plus ,il Ă©tait hyperactif, devenait insupportable, de plus en plus crieur et violent, parfois mĂȘme avec ses petits camarades contre lesquels il jetait tout ce qui lui tombait sous la main. Il se renfermait de plus en plus dans un monde autistique. Dans notre cas, le destin Ă©tait vraiment un drĂŽle » de destin
 Un signe un livre Mais, voilĂ , un jour le ciel pensa tout de mĂȘme Ă  m’aider. Personnellement, j’étais arrivĂ©e Ă  la limite de ce que je pouvais faire, je n’arrivais plus Ă  aider ni mon fils, ni moi-mĂȘme. J’étais affolĂ©e, effondrĂ©e Steven passait des jours prostrĂ© dans un coin, se balançait de plus en plus, et se renfermait dans son monde, dans sa boule, dans son autisme. A cette pĂ©riode, je me voie offrir par Martine, une amie doctoresse, le livre La Drogue cachĂ©e – les phosphates alimentaires » de Herta Haffer. Cet ouvrage traite des problĂšmes des phosphates dans l’alimentation qui peuvent causer des troubles importants du comportement chez certains enfants et adolescents. DĂšs la fin du livre, j’adopte les recommandations prĂ©conisĂ©es. Mon premier geste est de vider le rĂ©frigĂ©rateur, les armoires, pour Ă©liminer toute substance nocive. Puis de suite, j’essaie de bĂątir quelque chose de personnalisĂ© pour mon fils. Je me mets Ă  reprendre une cuisine Ă  l’ancienne, une alimentation naturelle sans conservateur ni colorant. Mais encore faut-il comprendre et savoir quels seront les changements possibles sur le mĂ©tabolisme. Mon cobaye mon fils Steven devient alors le cobaye des expĂ©riences que je vais faire jour aprĂšs jour dans ma cuisine. Avec le temps, je vois une amĂ©lioration physique de ses symptĂŽmes. Pendant 8 ans, je fais des essais alimentaires. Je cherche Ă  aller plus loin que le contenu du livre La Drogue cachĂ©e ». mon fils est mon seul indicateur, me basant uniquement sur ce qu’il peut tolĂ©rer. J’endosse volontiers le rĂŽle de la femme pĂ©nible dans les magasins, qui contrĂŽle tout, qui regarde tout, qui espionne tout autour d’elle, qui demande tout. Je lis les compositions, les ingrĂ©dients, les condiments, la provenance de chaque produit avant qu’il ne puisse entrer dans ma cuisine. Et avec succĂšs, tout doucement, je vois mon fiston se mĂ©tamorphoser. Ce fut tout d’abord un petit sourire, une pointe de sommeil, un peu plus calme, des faits imperceptibles pour une personne Ă©trangĂšre, mais des signes d’amĂ©lioration gigantesques pour moi, sa mĂšre. J’ai pu enfin prendre mon fils dans les bras sans qu’il ne fasse une crise de violence. Mon amour maternel longtemps frustrĂ© pouvait s’exprimer. Comprendre l’évolution Devant ce nouveau bonheur, je ne peux rester ainsi Ă  ce stade ; je me mets alors en piste pour amĂ©liorer encore plus notre alimentation et comprendre aussi pourquoi et comment la nourriture peut faire de tels changements, comme ceux constatĂ©s chez Steven et moi-mĂȘme. Mes bĂ©quilles sont parties au rĂ©duit, j’ai l’impression de voler, je n’ai plus mal nulle part, je me sens merveilleusement bien, je passe des nuits paisibles. Steven peut ĂȘtre scolarisĂ© car tout va bien ; il ne fait plus de crises d’autisme ni de pĂ©riodes de balancements. Bien sĂ»r, il a encore des difficultĂ©s dans les apprentissages, c’est un enfant gai et resplendissant. Mais aprĂšs tout, que vouloir de plus, ayant obtenu dĂ©jĂ  le 80% de ses capacitĂ©s, ce qui est merveilleux ! ». je l’aide de tout mon possible pour qu’il puisse faire des Ă©tudes, je vois qu’il est trĂšs intelligent et cela m’encourage ; je me dis que le reste est juste une question de temps, vu que tous les autres symptĂŽmes physiques ont pu disparaĂźtre. Reproduire ces actes qui amĂ©liorent la vie Avec le temps, l’histoire de Steven est devenue connue dans notre entourage. J’ai l’envie d’aider d’autres familles. J’ai tant appris. La chance de pouvoir aider d’autres enfants va venir de personnes et mĂ©decins qui me les adresseront. Mais je me rends compte Ă©videmment que le changement alimentaire doit ĂȘtre individualisĂ©, que tel enfant peut supporter tel produit, tel aliment, mais pas un autre. L’un est intolĂ©rant au lait et dĂ©rivĂ©s casĂ©ine, au gluten et ses dĂ©rivĂ©s, un autre aux pommes, au sucre ou encore au lait de soja, aux Ɠufs, aux bananes, etc., voire Ă  tous ces aliments en mĂȘme temps ! C’est souvent une intolĂ©rance globale Ă  des aliments de base. Mes journĂ©es me servent Ă  aider les familles, mes nuits Ă  chercher les effets de la nourriture sur le mĂ©tabolisme – pourquoi et comment chacun rĂ©agit diffĂ©remment. J’essaie alors d’apporter des solutions par les complĂ©ments alimentaires pour que l’organisme ne manque pas de calcium, de sĂ©lĂ©nium, des principales vitamines, de zinc, de lipides, etc. Je commence Ă  comprendre que tous ces problĂšmes mĂ©taboliques sont dus aux systĂšmes enzymatiques qui, eux, doivent ĂȘtre en parfait Ă©tat pour que l’organisme puisse s’épanouir et bien faire son travail. Et je cherche, j’étudie, j’apprends et les annĂ©es passent
 Une piste les mĂ©taux lourds Un jour, j’assiste Ă  une confĂ©rence sur les mĂ©taux lourds et leurs effets dans l’organisme. Je me rends compte que c’est peut-ĂȘtre une piste importante dans mes recherches. Je suis prudente, rĂ©alisant qu’il y a comme une chape de plomb sur ce sujet. Pourquoi ? Je m’aventure alors trĂšs prudemment, avançant Ă  petits pas, essayant de contacter des personnes expertes, des Ă©pidĂ©miologistes. Je dĂ©couvre dans ce milieu scientifique que, depuis des annĂ©es, des chercheurs chevronnĂ©s font de la recherche en laboratoire sur ce sujet tabou ». Mais leurs rĂ©sultats ne sont pas divulguĂ©s ou on ne leur permet pas de les divulguer par exemple les rĂ©sultats des travaux de Berthold Chales-de-Beaulieu, chiropraticien allemand connu qui a donnĂ© des confĂ©rences depuis 1969 Ă  des dentistes, sans parler des travaux acharnĂ©s menĂ©s depuis des annĂ©es par plusieurs mĂ©decins français et qui sont restĂ©s dans l’ombre. ParallĂšlement, je continue Ă  me perfectionner dans ma piste alimentaire et une question me vient alors Ă  l’esprit pourquoi ne pas essayer de faire des analyses avec des spĂ©cialistes et de bons laboratoires et trouver le moyen de mettre en Ă©vidence si vraiment il y a intoxication aux mĂ©taux lourds ou pas ? Le puzzle avance Chemin faisant, j’ai une somme d’informations qui, comme les piĂšces d’un puzzle, s’assemblent. Je me rends compte qu’en faisant des analyses trĂšs prĂ©cises et bien interprĂ©tĂ©es par des spĂ©cialistes, nous pouvons vraiment mettre en Ă©vidence les intoxications des personnes qui portent des amalgames dentaires. Mais comment se fait-il que nos enfants, eux qui n’ont pas encore d’amalgame, ont aussi des mĂ©taux lourds dans l’organisme et plus encore ? D’autres rĂ©ponses, petites piĂšces du puzzle, sont encore venues Ă  moi cela peut se faire par transfert placentaire. Les mĂ©taux lourds des amalgames, les mĂ©taux lourds des vaccins, les mĂ©taux lourds de la pollution que nous accumulons dans notre organisme, hormis les dĂ©gĂąts directs qu’ils nous font Ă  nous-mĂȘmes peuvent ĂȘtre transfĂ©rĂ©s Ă  nos enfants – mĂȘme par le sperme – et peuvent causer des problĂšmes immĂ©diats. ComprĂ©hension de nos souffrances Le chemin ainsi parcouru m’a apportĂ© enfin l’explication j’étais donc tout simplement intoxiquĂ©e par des amalgames, et les violentes douleurs subies pendant 16 ans ne venaient de rien d’autre que de cette intoxication. Je l’ai ensuite transmise en grande partie 70% environ par voie placentaire Ă  mon fils Steven. Puis pour lui, sont venus s’ajouter des vaccins contenant du ThimĂ©rosal et cela a fait dĂ©border le vase. Avec tant de mĂ©taux lourds dans nos cellules, les systĂšmes enzymatiques se retrouvent bloquĂ©s. Le corps est obligĂ© d’en subir les consĂ©quences graves qui en dĂ©coulent car la nourriture ne peut plus ĂȘtre assimilĂ©e. Les nutriments sains sont transformĂ©s en toxines dans l’organisme. Et ces mĂȘmes toxines provoquent les troubles inflammatoires et neurologiques. DĂšs lors, au fil de son changement alimentaire trĂšs suivi, Steven retrouve toute sa vue et pose ses lunettes ; ses dĂ©formations osseuses comme ses tumeurs sur les tibias ont complĂštement disparu. Il marche, il court et mĂȘme, et avec les annĂ©es, devient champion de trampoline – 3e dans sa catĂ©gorie aux Championnats de Suisse en l’an 2000. Quel succĂšs, je suis heureuse ! Le chemin continue toujours Mais il me restait toujours beaucoup de chemin Ă  parcourir, car je n’avais pas encore toutes les rĂ©ponses. Pourquoi le changement alimentaire agit-il comme une bouĂ©e de sauvetage pour diminuer, arrĂȘter les symptĂŽmes ? Je me suis donc renseignĂ©e pour pouvoir faire effectuer les analyses des troubles du mĂ©tabolisme qui mettraient en Ă©vidence les dĂ©gĂąts causĂ©s par les mĂ©taux lourds. J’ai su qu’aux Etats-Unis je pourrais les obtenir. Bien sĂ»r, les prix Ă©taient excessifs, 6 000 francs suisses environ – ce n’était vraiment pas donnĂ© – mais plusieurs mĂšres ont nĂ©anmoins choisi de les faire faire lĂ -bas. La ligne d’arrivĂ©e Et j’ai pu constater les blocages » sur les acides gras, la dysbiose et autres problĂšmes. La preuve de la cause de ces blocages » Ă©tait lĂ  les mĂ©taux lourds se trouvent dans les cellules et vont bel et bien bloquer une partie des nombreux systĂšmes enzymatiques Depuis, j’ai pu Ă©galement constater avec l’expĂ©rience que chaque individu rĂ©agit diffĂ©remment devant un blocage enzymatique ; et ceci en fonction de son propre hĂ©ritage gĂ©nĂ©tique. L’intoxication est diffĂ©rente suivant le mĂ©lange des mĂ©taux et des quantitĂ©s logĂ©es dans les cellules de chaque organe. La sĂ©rie des enzymes principales de dĂ©saturation des acides gras saturĂ©s comme la delta-6-dĂ©saturase n’arrive plus Ă  transformer et mĂ©taboliser les huiles et les graisses saturĂ©es ou mono-insaturĂ©es en acides gras essentiels polyinsaturĂ©s, indispensables par exemple pour les cellules nerveuses ou la rĂ©tine
 Certaines personnes vont ainsi dĂ©velopper diffĂ©rentes pathologies comme la sclĂ©rose en plaques, la dĂ©pression, l’hyperactivitĂ©, la schizophrĂ©nie violence, la maladie d’Alzheimer, la dĂ©myĂ©linisation infantile, des pathologies dĂ©gĂ©nĂ©ratives, et peut-ĂȘtre mĂȘme divers cancers ou des maladies cardio-vasculaires. S’organiser pour ĂȘtre efficace Patiemment, j’avais bien mis au point ma piste nutritionnelle. De plus, je me suis organisĂ©e en fondant une association pour les enfants hyperactifs et, Ă©galement crĂ©ant et dirigeant l’antenne suisse Hyperactif-Autiste, troubles du mĂ©tabolisme – un enfant comme les autres » dont le fondateur est M. Jean-Claude Morizot. Aujourd’hui, cette association aide les familles qui cherchent pour leurs enfants d’autres informations que celles de la voie classique ». Nous informons ces familles d’enfants atteints par la dyslexie, des pathologies aggravĂ©es diffĂ©rentes, jusqu’à l’autisme le plus profond, avec perte de langage. Tous ces enfants ont en commun leur intelligence, leurs angoisses, leur hypo ou hyperactivitĂ©, leurs difficultĂ©s d’apprentissage, leurs frustrations, leurs colĂšres. Pour certains s’ajoutent la stĂ©rĂ©otypie, le renfermement dans diverses formes d’autisme, avec ou sans langage, avec parfois des comportements d’automutilation, avec ou sans crises d’épilepsie. Et tout cela est bien souvent dĂ» Ă  une intolĂ©rance cachĂ©e, vĂ©ritable bombe Ă  retardement. A titre d’exemple, un des constituants du blĂ©, le gluten, peut fournir par dĂ©gradation incomplĂšte plus d’une dizaine de petits peptides qui auront en passant dans la circulation gĂ©nĂ©rale une activitĂ© opioĂŻde » au niveau des rĂ©cepteurs cĂ©rĂ©braux ! De la mĂȘme façon, la casĂ©ine, prĂ©sente dans de nombreux produits laitiers, peut former des casomorphines avec le mĂȘme impact et entraĂźnant des troubles du comportement ! Je peut vraiment affirmer que pour toutes ces pathologies – comme l’hyperactivitĂ© qui dĂ©clenche de la violence verbale ou physique, que ce soit chez les enfants, les prĂ©-adolescents, les adolescents et les adultes – la nourriture joue un grand rĂŽle et a vraiment un rĂŽle important Ă  jouer. Aujourd’hui, nous avons la preuve que les blocages enzymatiques entraĂźnent des mauvaises transformations de la nourriture qui peut devenir toxique. Toutes ces dĂ©couvertes et certitudes sont merveilleuses Ă  recevoir pour moi. Je suis heureuse aujourd’hui de pouvoir diriger une association qui, depuis plusieurs annĂ©es dĂ©jĂ , informe, suit et soutient des centaines de personnes dans leur quĂȘte d’une meilleure qualitĂ© de vie pour eux et leurs enfants. Je suis infiniment satisfaite de permettre Ă©galement Ă  tous ces parents et familles de se dĂ©barrasser du poids de la culpabilisation psychologique ou hĂ©rĂ©ditaire attribuĂ©e encore si souvent Ă  tort inutilement par l’entourage ! Une rencontre fructueuse Et il y a deux ans, la chance s’est invitĂ©e aussi. Elle m’offrit la possibilitĂ© de rencontrer le Dr Francis Rocchiccioli de l’HĂŽpital Cochin – Saint Vincent-de-Paul, Ă  Paris, qui s’intĂ©ressait dĂ©jĂ  Ă  l’autisme. Il est enseignant en mĂ©decine, biochimiste, chercheur et grand spĂ©cialiste europĂ©en des acides gras. Par nos Ă©changes, nous avons donc perçu progressivement les enjeux et les possibilitĂ©s qu’offrait l’aspect nutritionnel sur les troubles du mĂ©tabolisme. Il a mis en place, pour l’association, tout un panel d’analyses permettant de vĂ©rifier les dĂ©gĂąts et les troubles dans le mĂ©tabolisme. Ces analyses sont aussi performantes que celles faites en AmĂ©rique. C’est un vĂ©ritable prĂ©sent qui est offert Ă  tous ces enfants et personnes souffrant de troubles du mĂ©tabolisme. Et, analyses aprĂšs analyses, j’ai pu vraiment vĂ©rifier la diversitĂ© et la complexitĂ© des cas. Certains enfants ou personnes peuvent ĂȘtre sensibles au gluten, d’autres Ă  la casĂ©ine, d’autres au sucre, d’autres au cacao, etc. bien souvent ils ne sont pas allergiques, ils n’ont absolument pas un problĂšme de dĂ©fense immunitaire, ou, si c’est le cas, secondaire. Ils sont intolĂ©rants ou sensibles Ă  certains produits de la nourriture courante, et nous retrouvons dans leurs urines des substances accumulĂ©es particuliĂšrement des peptides qui tĂ©moignent de graves problĂšmes dans le mĂ©tabolisme. Une collaboration efficace GrĂące au Dr Francis Rocchiccioli et Ă  ses analyses, nous pouvons trĂšs clairement mettre en Ă©vidence les problĂšmes, les intolĂ©rances de ces personnes et ceci pour un coĂ»t raisonnable. Une collaboration fantastique et intense d’échange d’informations s’installe entre nous. C’est un travail extraordinaire de pouvoir effectuer ces vĂ©rifications d’aprĂšs les analyses et, dans un premier temps, d’aider les personnes grĂące au changement alimentaire individualisĂ© qui leur apporte des complĂ©ments et acides gras essentiels, sans colorant ni conservateur, les plus naturels possibles, bien spĂ©cifiques Ă  leurs besoins pour rĂ©parer les membranes, le tube digestif et supprimer les dysbioses. Dans un second temps, elles seront guidĂ©es vers une dĂ©toxication possible des mĂ©taux lourds, si celle-ci est souhaitĂ©e et indispensable. Elles peuvent ainsi vĂ©rifier par elles-mĂȘmes, prendre le temps de chercher d’oĂč vient la source de leurs problĂšmes ; puis par la suite convaincre leur mĂ©decin traitant, parents et entourage en s’appuyant sur les rĂ©sultats fabuleux obtenus lorsque les changements alimentaires sont biens et strictement observĂ©s. Les parents sont accompagnĂ©s pour la mise en place d’un changement alimentaire individualisĂ©, afin qu’il soit bien acceptĂ©, compris et permettre de reconstruire ainsi une nouvelle vie pour leurs enfants. De beaux rĂ©sultats pour Steven Bien Ă©videmment, c’est le docteur Rocchiccioli qui m’a proposĂ© de faire faire une analyse de peptides urinaires aussi pour Steven. J’ai pu constater par les rĂ©sultats que ses problĂšmes Ă©taient bien lĂ , bien clairement rĂ©vĂ©lĂ©s. J’eus un choc inattendu lorsque je vis que les analyses prouvaient une grande intolĂ©rance au gluten. Je n’étais pas allĂ©e assez loin dans le changement alimentaire ; il me fallait Ă  tout prix supprimer le gluten de sa nourriture. Ce fut chose faite immĂ©diatement. Je retournais dans mon laboratoire-cuisine, pour chercher, inventer de nouvelles recettes. Je voulais de nouveau offrir Ă  Steven une nourriture bonne pour lui, Ă©quilibrĂ©e, et surtout faire qu’il ne se sente pas privĂ©, frustrĂ©. Je tiens beaucoup Ă  ce qu’il ait la joie de goĂ»ter Ă  beaucoup de bonheur Ă  travers des pĂątisseries et des gĂąteaux comme tous les autres enfants. L’alimentation joua son rĂŽle Et ce fut comme un coup de baguette magique. AprĂšs seulement un mois du nouveau changement alimentaire sans gluten, Steven, qui avait encore un manque de confiance en lui, des difficultĂ©s avec l’orthographe, l’écriture, les dictĂ©es, beaucoup de difficultĂ©s Ă  faire ses devoirs, une grande susceptibilitĂ© et trĂšs sensible Ă  la frustration, devint comme par enchantement souriant, de bonne humeur, gai, clair dans sa tĂȘte. Il n’avait plus de difficultĂ© pour faire ses devoirs il les dĂ©vorait le soir en rentrant de l’école. En un an, il a fait des progrĂšs extraordinaires pour finir parmi les meilleurs de sa classe. Il est heureux, il s’épanouit et commence Ă  avoir de superbes bonnes notes. Il a maintenant 13 ans et je partage aujourd’hui beaucoup de bonheur avec lui c’est un enfant avec qui en peut dialoguer, qui est heureux de vivre, qui vit pleinement sa vie. Bilan de cette aventure Il me faut tirer un bilan de cette expĂ©rience qui valait, au regard du temps, la peine d’ĂȘtre vĂ©cue. MĂȘme si le chemin n’a pas Ă©tĂ© facile Ă  emprunter, je serais prĂȘte Ă  la refaire pour la joie que m’apporte l’instant de re trouver un sourire sur le visage des enfants. Ces enfants viennent me voir des quatre coins du monde, et me permettent parfois d’ĂȘtre tĂ©moin de leur parole re trouvĂ©e aprĂšs des annĂ©es de silence. Pendant ces 10 annĂ©es de dĂ©veloppement associatif, je me suis appliquĂ©e Ă  donner aux parents les meilleures informations et solutions Ă  prendre en considĂ©ration pour amĂ©liorer l’état de leur enfant J’ai conscience qu’au dĂ©but je n’étais pas en possession de toutes les donnĂ©es. J’ai eu des surprises et des difficultĂ©s. Je voulais tellement apporter du soulagement et des rĂ©ponses immĂ©diates Ă  ces parents pour aider leurs enfants. Ces enfants me font penser Ă  de belles Ferrari, mais qui sont toujours Ă  l’arrĂȘt. Et avec acharnement, nous les poussons avec diffĂ©rentes thĂ©rapies qui ne les font parfois avancer bien pĂ©niblement ! Pourquoi ne pas tourner directement la clĂ© de contact et faire redĂ©marrer Ă  nouveau ce vĂ©hicule ? Je pense aujourd’hui qu’il est temps d’ouvrir le capot de nos belles petites Ferrari, de regarder dans le moteur. Car il ne suffit plus de s’asseoir devant ces enfants, d’incriminer telle ou telle pathologie sans aller voir ce qui se passe d’un point de vue du mĂ©tabolisme, et d’observer comment celui-ci fonctionne. Nous comprenons facilement qu’une voiture fonctionne avec de l’essence et de l’huile, et de l’eau pour laver les vitres. Pour les personnes, c’est la mĂȘme chose nous fonctionnons bel et bien avec de la nourriture, de l’eau et de l’air. Et il faut que ces ingrĂ©dients soient prĂ©sents pour nous donner l’énergie dont nous avons besoin. Pour avoir une bonne voiture il ne lui faut Ă©videmment pas de plomb, de mĂ©taux lourds dans les pneus, sinon elle ne roulerait pas vite ; c’est pareil pour nous et nos cellules. Aujourd’hui, mon expĂ©rience s’est affinĂ©e et enrichie grĂące aux diffĂ©rentes analyses mises en place bilan, aux chĂ©lations Ă©limination des mĂ©taux lourds, aux plans alimentaires individualisĂ©s, Ă  la complĂ©mentation en minĂ©raux, oligo-Ă©lĂ©ments et aides gras essentiels etc., et cela sur des dizaines et des dizaines d’enfants et d’adultes. J’ai pu crĂ©er ma propre thĂ©rapie nutritionnelle la delta –6-dĂ©saturase plus. C’est par la dĂ©couverte de la reconnaissance chez de trĂšs nombreux petits patients de carences en acides gras essentiels ou poly-insaturĂ©s et particuliĂšrement de la sĂ©rie omĂ©ga-3, se traduisant par le blocage d’une enzyme la delta-6-dĂ©saturase. Et tout ceci Ă  cause de l’intoxication au mĂ©taux lourds quantifiĂ©e par les rĂ©sultats des analyses ! La thĂ©rapie nutritionnelle delta-6-dĂ©saturase. Elle offre - Toutes les informations pour dĂ©celer et mettre en Ă©vidence une intoxication aux mĂ©taux lourds. Aujourd’hui, la mĂ©decine traditionnelle ne cherche que rarement Ă  faire le lien entre diverses pathologies comme la fatigue chronique, maux de tĂȘte, dĂ©faillance du systĂšme immunitaire, troubles du systĂšme digestif, troubles de l’humeur et du comportement, hypo et hyperactivitĂ©, jusqu’aux pathologies les plus lourdes, et une intoxication aux mĂ©taux lourds. Pourtant les mĂ©taux lourds peuvent dĂ©clencher dans l’organisme une avalanche de symptĂŽmes les plus divers auxquels chaque individu rĂ©agira diffĂ©remment. - La possibilitĂ© d’aider les personnes Ă  mettre en place une alimentation appropriĂ©e, riche en complĂ©mentations d’aprĂšs leur bagage enzymatique fonctionnel dĂ©terminĂ© par des analyses. - un dĂ©veloppement d’une information par de la documentation et des cassettes vidĂ©o sur une alimentation sans gluten, sans lait, sans protĂ©ine bovine et soja, sans colorants, sans conservateur et phosphates ajoutĂ©s pour les changements les plus stricts. - un dĂ©veloppement de nouveaux produits alimentaires utiles et non encore disponibles actuellement sur les marchĂ©s. - une formation et un dĂ©veloppement de recettes de cuisine spĂ©cifiques allĂ©geant le plus possible les contraintes tout en privilĂ©giant plaisir de manger de tout gĂąteaux, dessert, viande et lĂ©gumes, etc.. - des informations sur les sources de vitamines et de minĂ©raux, parmi lesquels les oligo-Ă©lĂ©ments, leur assimilation et leur rĂŽle. - un accompagnement pour le suivi dans le temps du changement alimentaire et des encouragements. LES METAUX LOURDS Aujourd’hui le langage courant a vulgarisĂ© le terme mĂ©taux lourds », englobant Ă  tort un grand nombre de mĂ©taux mercure, plomb, nickel, cadmium, aluminium, bismuth, titane, cuivre, thallium, Ă©tain, etc. Le terme mĂ©taux lourds » a Ă©tĂ© introduit historiquement au dĂ©but du XXe siĂšcle et ne comportait Ă  l’époque que le mercure, le plomb et le cadmium. Depuis, leur toxicitĂ© a Ă©tĂ© abondamment dĂ©montrĂ©e ainsi que celle de nombreux autres mĂ©taux appelĂ©s mĂ©taux traces » comme par exemple l’étain, le titane et l’aluminium voir plus loin ou le nickel qui peuvent Ă©galement avoir des effets dĂ©vastateurs sur l’organisme quand ils y sont accumulĂ©s. Les mĂ©taux lourds, de par leurs charges positives, rĂ©agissent fortement avec les charges nĂ©gatives des fonctions latĂ©rales de certains acides aminĂ©s des protĂ©ines, particuliĂšrement la cystĂ©ine. Le mercure, redoutable Ă  ce jeu lĂ , et rĂ©agit avec son groupe thiol, jouant normalement un rĂŽle important dans l’état d’oxydorĂ©duction et l’activitĂ© de nombreuses enzymes qui se retrouvent ainsi inhibĂ©es et/ou inactivĂ©es, engendrant des pathologies diverses. Si certains autres mĂ©taux sont indispensables au fonctionnement enzymatique du corps, leur surcharge dĂ©clenche des rĂ©actions toxiques. Ces rĂ©actions les apparentent au mode d’action des mĂ©taux lourds, d’oĂč leur classification infidĂšle ». Les mĂ©langes de mĂ©taux accentuent encore leur toxicitĂ© dans l’organisme. Les pathologies engendrĂ©es par les mĂ©taux lourds sont trĂšs souvent de nature dĂ©gĂ©nĂ©rative diminution des facultĂ©s cognitives, Alzheimer, Parkinson, sclĂ©rose en plaques, Ă©pilepsie, etc.. Les mĂ©taux lourds perturbent l’activitĂ© enzymatique Les mĂ©taux lourds sont chimiquement trĂšs rĂ©actifs. Par exemple le mercure, le plus rĂ©actif d’entre eux, prend la place des oligo-Ă©lĂ©ments essentiels aux enzymes, au niveau des cellules. Cette substitution a pour effet d’inhiber ou d’inactiver de nombreuses enzymes. Le zinc, le calcium, le sĂ©lĂ©nium, le magnĂ©sium, le fer, comme les autres oligo-Ă©lĂ©ments, ne sont pas toxiques, sauf Ă  des concentrations Ă©levĂ©es surtout le fer quand ils ne sont plus utilisĂ©s correctement par les cellules. Ils jouent un rĂŽle de catalyseurs dans beaucoup de fonctions enzymatiques. Le catalyseur est le dĂ©marreur du moteur enzyme sans le catalyseur, pas de dĂ©marrage et donc pas d’activitĂ© enzymatique. Cela devient grave quand par exemple l’enzyme en question joue un rĂŽle essentiel dans la dĂ©gradation du gluten, de la casĂ©ine ou d’autres aliments. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’un aliment mon toxique qui n’est plus mĂ©tabolisĂ© correctement devient toxique pour l’organisme. Exemple la mauvaise dĂ©gradation de la gliadine, dĂ©rivĂ©e du gluten, produit de la gliadinomorphine ou encore dite glutenmorphine, une substance intermĂ©diaire trĂšs toxique qui interagit au niveau des communications entre neurotransmetteurs et neurorĂ©cepteurs, pouvant dĂ©clencher des pathologies telles que hypo et hyperactivitĂ©, dĂ©pression, schizophrĂ©nie, autisme, Ă©pilepsie. De mĂȘme les casomorphines issues d’une mauvaise dĂ©gradation de la casĂ©ine du lait provoquent toute une sĂ©rie de maladies respiratoires chroniques ORL otites, bronchites, sinusites, asthme,de dermatoses et mĂȘme des problĂšmes de vue. Dans le cas de la delta-6-dĂ©saturase, les pathologies sont liĂ©es aux maladies dĂ©gĂ©nĂ©ratives comme expliquĂ© plus loin
 Le fait que le mercure se substitue aux oligo-Ă©lĂ©ments est doublement trompeur le mercure ainsi liĂ© aux enzymes n’est plus dĂ©tectable car il n’est plus sous sa forme libre. Par contre, les oligo-Ă©lĂ©ments sont passĂ©s de la forme liĂ©e aux enzymes Ă  une forme libre. On va donc les doser en plus forte concentration et, sachant que les oligo-Ă©lĂ©ments sont bons pour l’organisme, on sera tentĂ©, Ă  tort, de dire que la personne est en excellente santĂ© car ayant une grande quantitĂ© d’oligo-Ă©lĂ©ments en circulation que l’on peut doser dans les cheveux, alors que celle-ci est en fait secondaire Ă  une intoxication d’un mĂ©tal lourd ! On comprend mieux maintenant l’action trĂšs insidieuse du mercure dans le corps. On peut trĂšs bien dĂ©tecter, chez une personne, pourtant souffrante, de grandes quantitĂ©s d’oligo-Ă©lĂ©ments et trĂšs peu, voire pas du tout, de mercure. Si on arrĂȘte lĂ  le diagnostic, faute de trouver un coupable, on va coller au mal une Ă©tiquette psychosomatique alors que la vraie cause est d’ordre organique. D’oĂč l’importance d’analyses bien ciblĂ©es et bien interprĂ©tĂ©es. LE MERCURE Hg Histoire Le mercure s’appelait autrefois hydrargyre argent liquide » d’oĂč son symbole Hg. Des gisements de mercure paraissent avoir Ă©tĂ© connus dĂšs l’AntiquitĂ© par les PhĂ©niciens. Ils ont Ă©tĂ© exploitĂ©s ensuite par les Grecs, puis par les Romains et au Moyen Age, par les Arabes. Les sels de mercure rĂ©pondaient Ă  bien des indications et un certain nombre Ă©taient utilisĂ©s en thĂ©rapeutique. Ils se prĂ©sentaient sous toutes les formes pilules, sirop, solutions et pommades. Au XVIIIe siĂšcle, le cyanure de mercure Ă©tait utilisĂ© comme antisyphilitique. Au dĂ©but de notre siĂšcle, des mĂ©decins ont criĂ© au danger et tirĂ© la sonnette d’alarme lorsque les dentistes ont commencĂ© Ă  la mettre dans la composition des amalgames en bouche. Personne n’a vraiment voulu les Ă©couter soigner avec une bonne rentabilitĂ© Ă©tait la prioritĂ©. Les dĂ©gĂąts causĂ©s dans l’organisme par le mercure ont Ă©tĂ© dĂ©couverts depuis de nombreuses annĂ©es. Prenons, par exemple, le dĂ©sastre Ă©cologique et humain de la baie de Minamata, qui a commencĂ© en 1932 par des dĂ©versements intempestifs de mĂ©thyl-mercure dans les eaux de la baie. Les premiĂšres atteintes des personnes sont apparues 20 ans aprĂšs les symptĂŽmes Ă©taient de grandes fatigues, des maladies de Parkinson, d’Alzheimer. Le plus dramatique fut lorsque des mĂšres commencĂšrent Ă  mettre au monde des enfants autistes, lourdement handicapĂ©s physiquement et mentalement. Il a Ă©tĂ© dĂ©montrĂ© que le mercure avait causĂ© des mutations chromosomiques Ă  la conception, celles-ci donnant des enfants atteints de troubles physiques et mentaux Ă©tudes et travaux en 1971 par des chercheurs, Ă  l’exemple du Dr suĂ©dois Skerfving. Aujourd’hui, son emploi se trouve dans les diverses branches de l’industrie voir tableau et en mĂ©decine Sources possibles de mercure Effets sur la santĂ© Combustion du charbon Troubles des fonctions thermomĂštres CĂ©rĂ©brales Amalgames dentaires AsthĂ©nie Accumulateurs Troubles visuels Onguents et cosmĂ©tiques Paralysie Fongicides et pesticides Convulsions Papier et adhĂ©sifs Albuminurie Pellicules de films LĂ©sions rĂ©nales Antiseptiques Feutre et vĂȘtements Cire Ă  parquet Peinture Ă  l’eau Engrais chimiques Lampes au nĂ©on Poisson Extraction de l’or et de l’argent D’autres sources possibles d’émission de mercure sont multiples comme les incinĂ©rateurs mortuaires, mĂ©dicaux et municipaux, les poissons d’eau douce, les plantes et animaux de mer
 Le mercure peut ĂȘtre vĂ©hiculĂ© sur de trĂšs longues distances dans l’atmosphĂšre ; une famille ayant une rĂ©sidence prĂšs d’un incinĂ©rateur et localisĂ©e en direction du vent sera plus contaminĂ©e qu’une famille habitant en direction opposĂ©e au vent, mĂȘme si la maison est plus proche de l’incinĂ©rateur. Utilisation actuelle en mĂ©decine Qui n’a pas Ă©tĂ© badigeonnĂ© d’une plaie au Mercurochrome aprĂšs un accident, une opĂ©ration ou des petites blessures ? Le mercure est souvent prĂ©sent dans de nombreux mĂ©dicaments, par exemple Mercryl, MerfĂšne, DacryosĂ©rum. Ils sont retirĂ©s silencieusement un peu plus du marchĂ© chaque annĂ©e ! Le mercure est utilisĂ© comme conservateur dans les vaccins. L’administration des vaccins continue Ă  faire couler beaucoup d’encre
 De nombreux articles dans la presse, de tĂ©moignages de parents, font le lien entre l’administration de ces vaccins et, aprĂšs une courte pĂ©riode, l’apparition des manifestations autistiques post-vaccinales chez les enfants. Actuellement on sait que, dans certaines rĂ©gions du monde, un enfant sur 150 est autiste ; et au regard de ces observations, il faut s’interroger et vĂ©rifier s’il n’y a pas, dans ces manifestations prĂ©coces de l’autisme, un lien souvent associĂ© aux problĂšmes de vaccin ROR. Lors de son arrivĂ©e dans notre monde, le nouveau-nĂ© est accueilli avec une liste de diffĂ©rents vaccins qui va en s’allongeant d’annĂ©es en annĂ©es. Certains contiennent d’assez grandes quantitĂ©s de ThimĂ©rosal ou Ă©thyl-mercurithiosalicylate de sodium. Les vaccins contenant du ThimĂ©rosal sont actuellement donnĂ©s avec dĂ©sinvolture. Voici quelques-uns des agents de prĂ©servation courants trouvĂ©s dans les vaccins – qu’il est fortement conseillĂ© d’éviter ThimĂ©rosal mercure, aluminium, phĂ©nol dĂ©sinfectant, formaldĂ©hyde carcinogĂšne, Ă©thylĂšne-glycol antifreeze, NĂ©omycine DNA polymerase inhibitor, Streptomycine antibiotique, etc. Sur le marchĂ©, apparaissent les premiers vaccins sans mercure. Il est donc trĂšs important de vous renseigner sur la composition des vaccins. [
] LE PLOMB Pb Histoire Les Romains et le saturnisme l’intoxication par le plomb est connue depuis l’AntiquitĂ© ! L’analyse des os des victimes d’une Ă©ruption en 79 aprĂšs du VĂ©suve Ă  Herculanum, prĂšs de PompĂ©i, a montrĂ© qu’ils contenaient du plomb. Le plomb Ă©tait trĂšs utilisĂ© par les Romains, qui s’en servaient pour leurs ustensiles de cuisine. A l’époque gallo-romaine, l’Orge, l’Yvette et la BiĂšvre alimentaient en eau les habitations de LutĂšce par des canalisations de terre cuite ou de plomb. D’ailleurs, certains historiens rendent le saturnisme responsable de la dĂ©cadence de l’Empire de Rome. De nos jours, on trouve toujours du plomb dans l’eau de nos robinets. La teneur en plomb maximale tolĂ©rĂ©e dans l’eau potable est de 50 ”g/l dans l’eau destinĂ©e Ă  la consommation. Afin de protĂ©ger ces enfants, l’OMS prĂ©conise un taux de plomb de 10 ”g/l. l’Europe va ĂȘtre amenĂ©e Ă  remplacer ses canalisations de distribution d’eau en plomb directives europĂ©ennes. Quelques chiffres Ă  propos de saturnisme des enfants En France 150 000 Ă  200 000 enfants seraient exposĂ©s au risque du saturnisme liĂ© Ă  l’habitat vĂ©tuste, dont 50 000 Ă  60 000 environ seraient intoxiquĂ©s avec une plombĂ©mie trop Ă©levĂ©e selon les estimations du ministĂšre français de la SantĂ©. Parmi 13 400 enfants intoxiquĂ©s, 32% avaient un taux de plomb supĂ©rieur Ă  100 ”g par litre de sang et 5% plus de 250 ”g d’aprĂšs l’AFP Sciences n° 1111, du 4 dĂ©cembre 1997. Certaines peintures contiennent du plomb celles de couleur orange et jaune contiennent du plomb ; la couleur blanche est fabriquĂ©e Ă  partir de cĂ©ruse carbonate de plomb, zinc et titane. D’ailleurs, certains artistes peintres souffraient de troubles de la vision et certains de dĂ©mence
 Du plomb dans l’air entre 1945 et 1971, chaque annĂ©e entre 165 000 et 275 000 tonnes de poussiĂšres de plomb sortaient des pots d’échappement des automobiles amĂ©ricaines. Combien en plus sortaient des voitures en Europe
. ? Et dans le monde
 ? Et des avions 
 ? on peut donc aisĂ©ment imaginer les dĂ©gĂąts que l’on a fait simplement avec cela jusqu’à ce qu’on ait retirĂ© le plomb des carburants. La source du plomb Ă  elle seule a coĂ»tĂ© des millions chaque annĂ©e, que ce soit Ă  la France, Ă  l’Autriche, Ă  la Suisse et aux autres pays, au moins 2% de leur budget national, uniquement pour soigner les maladies dues Ă  leur pollution automobile ! NB Fumer augmente de 25% l’absorption de plomb et de cadmium. Une cigarette dĂ©truit 25 ”g de vitamine C. Sources possibles de plomb Effets sur la santĂ© Gaz de voitures AnĂ©mie Peintures Ă  base de plomb Colique Pollution dĂ»e aux fonderies Fatigue Conduites d’eau en plomb Convulsions Eau du robinet HyperkinĂ©sie Piles et accumulateurs au plomb psychose LE CADMIUM Cd Histoire Cet Ă©lĂ©ment Ă©tait autrefois extrait de la cadmie calamine dans la citĂ© grecque de Cadmos, prĂšs de ThĂšbes, d’oĂč son nom. Pontin l’y dĂ©couvrit en 1808, et il fut prĂ©parĂ© par F. Stromeyer en 1817. L’oxyde de cadmium, jaune brun, est usitĂ© dans la dĂ©coration des porcelaines. Le sulfure de cadmium, jaune clair, est employĂ© en peinture et en caoutchouterie. L’iodure de cadmium sert en photographie Ă  sensibiliser les plaques. Le cadmium entre dans la composition de nombreux alliages pour les soudures, brasures, et sert Ă  la fabrication de certaines batteries. Mais ses principales utilisations et celles de ses composĂ©s concernent les revĂȘtements anticorrosion appliquĂ© en couche mince sur l’acier – cadmiage, le cadmium le protĂšge contre la corrosion, en particulier saline. Ses vapeurs et ses sels sont trĂšs toxiques ; il ne doit pas entrer en contact avec les matiĂšres alimentaires. AUTRES METAUX TRACES TOXIQUES Rappel de nombreux mĂ©taux, qui peuvent empoisonner l’organisme selon la dose, n’appartiennent pas au groupe historique des mĂ©taux lourds mais mĂ©ritent leur place dans ce dossier dĂ©diĂ© Ă  la dĂ©sintoxication. Nous n’en citerons que deux Ă  titre d’exemple, le titane et l’aluminium mais d’autres, comme l’argent, le cuivre, le bismuth
 vont Ă©galement devenir toxiques selon les doses et dĂ©clencher des pathologies graves, d’autant plus que ce sont des poisons cumulatifs. L’ALUMINIUM Al Histoire En 1807, Guyton de Morveau baptise aluminium le mĂ©tal contenu dans l’alun et en 1859 Henri Sainte Claire Deville met au point le procĂ©dĂ© industriel de son isolement. L’aluminium pĂ©nĂštre dans les cuisines, d’abord avec les casseroles, dĂšs le dĂ©but du XXe siĂšcle, puis avec le papier aluminium ». Aujourd’hui, il est de plus en plus utilisĂ© pour les emballages alimentaires, pour l’alimentation conservateur, pour des mĂ©dicaments et la cosmĂ©tique. L’aluminium pĂ©nĂštre dans le sang en se combinant Ă  la transferrine Ă  la place du fer et conduit progressivement les cellules Ă  la nĂ©crose. Dans des conditions particuliĂšres chez des dialysĂ©s, on peut observer une neurotoxique dĂ©gĂ©nĂ©rative proche de la maladie d’Alzheimer. Sources possibles de cadmium Effets sur la santĂ© Fonderies de zinc, plomb et cuivre LĂ©sions rĂ©nales Eau de boisson ArtĂ©riosclĂ©rose RevĂȘtements de cadmium galvanisĂ© Bronchite chronique Particules de pneu EmphysĂšme Farine blanche OstĂ©omalacie Casseroles Ă©maillĂ©es Cancer broncho pulmonaire Bonbons et charcuterie IncinĂ©ration de caoutchouc, De plastique et de colorants CafĂ© instantanĂ© Et boissons au cola HuĂźtres Huile de moteur Et gaz d’échappement Engrais phophatĂ©s Produits Ă  polir l’argenterie cigarettes Sources d’intoxication - Par l’oxydation des aliments dans les emballages en aluminium barquettes, contenants et capsules, feuille d’aluminium – attention dans un plat en inox, par exemple, il se produit un effet Ă©lectrique » et donc un passage d’ions aluminium dans l’aliment, dans les casseroles et autres ustensiles, surtout si le contenu est acide ou salĂ© ; par les produits cosmĂ©tiques anti-transpirants et crĂšmes qui pĂ©nĂštrent par la peau ; par les mĂ©dicaments beaucoup de pansements gastriques
 - Par les vaccins la plupart diphtĂ©rie, tĂ©tanos, coqueluche, polio, hĂ©patite A et B, etc. contiennent de l’hydroxyde d’aluminium, correspondant Ă  un apport global en ions aluminium de l’ordre de 1 250 ”g par dose. Ce poison est inoculĂ© Ă  travers tous les filtres physiologiques ! Avant un an, un bĂ©bĂ© normalement vaccinĂ© reçoit au moins 8 000 ”g d’aluminium ! Par ailleurs, l’aluminium a trĂšs rĂ©cemment Ă©tĂ© incriminĂ© par la Professeur Gherardi de l’hĂŽpital Henri Mondor dans la myofasciite Ă  macrophages, pathologie nouvelle de l’adulte mais pouvant Ă©galement toucher l’enfant et secondaire Ă  des vaccinations. [
] LE TITANE Ti Bien qu’il ait Ă©tĂ© dĂ©couvert en 1791 par W. Gregor, et indĂ©pendamment en 1795 par M. Klaproth, le titane n’a pris de l’importance qu’à partir de 1946, date Ă  laquelle on trouva un procĂ©dĂ© de production Ă  l’échelle industrielle. Dans le domaine mĂ©dical il est trĂšs usitĂ© pour les applications orthopĂ©diques, tĂȘte fĂ©morales, implants dentaires, comme vĂ©hicule de stabilisation dans les crĂšmes dermatologiques. Le titane a remplacĂ© le plomb dans les peintures. On l’emploie pour blanchir les crĂ©pis de murs, revĂȘtements des poĂȘles, de cuisine, dans les dentifrices pour blanchir les dents. Il remplace le zinc depuis quinze ans pour recouvrir les comprimĂ©s pharmaceutiques et alimentaires. Il est utilisĂ© comme implant dentaire. Il est classifiĂ© comme conservateur E171. De nouvelles Ă©tudes mettent en Ă©vidence des soupçons quant Ă  son innocuitĂ©. Aujourd’hui on peut voir que le titane est conducteur de microcourants Ă©lectriques dans la milieu buccal, crĂ©ant ainsi une microgalvanisation. DĂ©tectable par le test MĂ©lissa. SOURCES D’INTOXICATION L’eau elle est de plus en plus contaminĂ©e dans les nappes phrĂ©atiques, les riviĂšres et mĂȘme dans les sols, qu’ils soient cultivĂ©s contamination par les pesticides et engrais, ou amĂ©nagĂ©s Ă  des fins esthĂ©tiques golfs. Les aliments depuis ces cinquante derniĂšres annĂ©es, les aliments sont dĂ©naturĂ©s » d’une façon drastique. Leurs modifications sont trop rapides pour le corps humain et la nature ne peut pas s’adapter. Ils sont modifiĂ©s gĂ©nĂ©tiquement – des gĂšnes d’autres espĂšces y sont introduits. Ils sont irradiĂ©s, colorĂ©s aromatisĂ©s et prĂ©servĂ©s artificiellement, fractionnĂ©s, surchauffĂ©s, transformĂ©s chimiquement, forcĂ©s dans des climats non propices, etc. Nous oublions que nous sommes le rĂ©sultat de notre Ă©volution Ă©chelonnĂ©e sur plusieurs millions d’annĂ©es. Nous avons Ă©voluĂ© au rythme de notre environnement. Maintenant, nous avons changĂ© l’environnement, mais notre corps ne peut suivre et reconnaĂźtre toutes ces molĂ©cules Ă©trangĂšres. RĂ©sultat nous vivons plus longtemps
 malades ! Ces aliments chimiques et modifiĂ©s ont des consĂ©quences dramatiques sur l’ĂȘtre humain. Additifs Saviez-vous que 34 colorants sont autorisĂ©s dans la transformation des aliments ? L’étiquette indique uniquement les couleurs mais pas leur toxicitĂ©. Plus de 1500 arĂŽmes sont permis dans les aliments. Et il existe plus de 10 000 additifs alimentaires dans le monde ! Irradiations nos aliments sont irradiĂ©s ! Ils ne sont pas radioactifs, mais les structures molĂ©culaires changent et ils sont des sources de radicaux libres ; ils provoquent de plus des mutations sur certaines bactĂ©ries et virus devenant rĂ©sistants aux irradiations. Les pesticides jusqu’à trĂšs rĂ©cemment, la majoritĂ© d’entre eux n’étaient pas Ă©tudiĂ©s sur le plan de la toxicitĂ© avant d’ĂȘtre commercialisĂ©s et Ă©taient considĂ©rĂ©s comme inoffensifs jusqu’à preuve du contraire ! Les normes europĂ©ennes ont changĂ© cet Ă©tat de fait. LES EFFETS DE L’INTOXICATION SUR LES ENFANTS On peut dire que les enfants intoxiquĂ©s Ă  un ou plusieurs mĂ©taux lourds habitent tous dans le mĂȘme immeuble » mais Ă  des Ă©tages diffĂ©rents. Au rez-de-chaussĂ©e se trouvent les enfants simplement dyslexiques et, aux Ă©tages supĂ©rieurs, se trouvent diffĂ©rentes pathologies aggravĂ©es jusqu’à l’autisme le plus profond, avec perte de langage. Tous ces enfants ont en commun leur intelligence, leurs angoisses, leur hypo ou hyperactivitĂ©, leurs difficultĂ©s d’apprentissage, leurs frustrations, leurs colĂšres. Pour certains s’ajoutent la stĂ©rĂ©otypie tics et troubles obsessionnels du comportement, le renfermement dans diverses formes d’autisme, avec ou sans langage, auto-mutilateur ou non, avec ou sans crises d’épilepsie. Et tout cela est dĂ» bien souvent Ă  des sensibilitĂ©s ou des intolĂ©rances cachĂ©es, vraies bombes Ă  retardement. Il en va Ă©videmment de mĂȘme pour les adultes
 L’IMPORTANCE DE L’ALIMENTATION L’alimentation est notre bouĂ©e de sauvetage, elle nous permet avant tout de vivre mais aussi de nous dĂ©sintoxiquer, de rééquilibrer notre organisme, de nous refaire une santĂ©. Le changement alimentaire doit ĂȘtre individualisĂ© et personnalisĂ© et surtout en harmonie avec notre capital enzymatique encore en Ă©tat de marche. D’ailleurs, l’un supportera tel produit, tel aliment, mais pas un autre. L’un sera intolĂ©rant au lait et ses dĂ©rivĂ©s casĂ©ine, au gluten et ses dĂ©rivĂ©s, un autre le sera aux pommes, ou au sucre, ou encore au lait de soja, aux Ɠufs, aux bananes, etc., voire Ă  tous ces aliments en mĂȘme temps ! C’est quelquefois une intolĂ©rance globale Ă  des aliments de base qui seront mal mĂ©tabolisĂ©s et transformĂ©s en toxines pour l’organisme. La prise de complĂ©ments alimentaires est importante et indispensable pour que l’organisme ne manque pas des principaux oligo-Ă©lĂ©ments et minĂ©raux calcium, magnĂ©sium, etc., vitamines A, B, D, E et huiles essentielles sĂ©rie omĂ©ga-3 et DHA indispensables pour les membranes cellulaires et pour la myĂ©line, etc. et pour que l’organisme puisse s’épanouir et fonctionner correctement. Les enzymes digestives Chaque individu rĂ©agit diffĂ©remment d’aprĂšs son propre hĂ©ritage gĂ©nĂ©tique, et chaque personne rĂ©agit Ă©galement diffĂ©remment devant les blocages enzymatiques dus Ă  sa propre intoxication, au cocktail des mĂ©taux logĂ©s dans les cellules des diffĂ©rents organes. Ainsi, certaines personnes dĂ©clencheront des pathologies diffĂ©rentes, et Ă  des degrĂ©s diffĂ©rents, comme la sclĂ©rose en plaques, la dĂ©pression, l’hyperactivitĂ©, la schizophrĂ©nie violence, la maladie d’Alzheimer, la dĂ©myĂ©linisation mĂȘme infantile et autres pathologies dĂ©gĂ©nĂ©ratives. Peut-ĂȘtre aussi divers cancers qu’on est encore loin de soupçonner ainsi que les maladies cardio-vasculaires lorsque le systĂšme des acides gras poly-insaturĂ©s est touchĂ© et lorsque la sĂ©rie des enzymes principales de dĂ©saturation delta-4, 5 et 6-dĂ©saturases n’arrive plus Ă  transformer et Ă  mĂ©taboliser les huiles et les graisses saturĂ©es en acides gras essentiels indispensables pour les cellules gaines des nerfs, rĂ©tine des yeux, prostaglandines, cerveau, neurotransmetteurs. La delta-6-dĂ©saturase est l’une des principales enzymes permettant la transformation des acides gras. Son action permet de gĂ©nĂ©rer des acides gras poly-insaturĂ©s essentiels au bon fonctionnement de l’organisme. Nous constatons dans certaines maladies dĂ©gĂ©nĂ©ratives, comme la sclĂ©rose en plaques ou les maladies cardio-vasculaires, que son dysfonctionnement est souvent prĂ©sent et mis en Ă©vidence par des analyses des acides gras membranaires ou Ă©rythrocytaires globules rouges de la fraction phospholipidique. Les mĂ©taux lourds perturbent la flore intestinale Les dĂ©stabilisateurs majeurs de la flore intestinale sont les mĂ©taux lourds, les changements d’alimentation, les thĂ©rapies aux antibiotiques, corticoĂŻdes, chimiothĂ©rapies, les parasitoses et mycoses, immunosuppresseurs ou laxatifs, les traitements chirurgicaux du tube digestif, ainsi que les Ă©pisodes diarrhĂ©iques dus Ă  la non-assimilation de la nourriture, dont les mĂ©taux lourds prĂ©sents dans l’organisme bloquent le systĂšme enzymatique. Des consĂ©quences indirectes et chroniques sont inflammation intestinale, colopathies fonctionnelles, troubles de la permĂ©abilitĂ© intestinale reliĂ©s Ă  la malabsorption ou aux infections par manque d’effet barriĂšre, mauvaise haleine, affaiblissement des cheveux, des ongles et de la peau carences nutritionnelles, affaiblissement du systĂšme immunitaire, Ă©lĂ©vation du taux de cholestĂ©rol, dĂ©gradation du terrain arthritique installation d’hĂŽtes indĂ©sirables Candida, vers, etc., pathologies auto-immunes thyroĂŻdite, Crohn, etc.. GROSSESSE RISQUES ET CONSEILS Lorsque la mĂšre possĂšde des mĂ©taux lourds dans son organisme, elle intoxique involontairement le fƓtus par transfert placentaire. De gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration, l’accumulation devient de plus en plus importante et dangereuse pour l’organisme du futur bĂ©bĂ©. Certaines bactĂ©ries prĂ©sentes dans le systĂšme buccal sont capables de mĂ©thyler » le mercure c’est-Ă -dire lui adjoindre un groupe mĂ©thyl, CH3, formant un cation mĂ©thylmercurique et donc de le rendre organique et soluble. Il est dĂ©montrĂ© que les amalgames dentaires de la future mĂšre, si elle en possĂšde, libĂšrent une certaine quantitĂ© de vapeur mercurielle, qui est inhalĂ©e et rejoint le courant sanguin. Une partie traverse alors le placenta et pĂ©nĂštre dans le fƓtus en dĂ©veloppement, qui prend les bons mais aussi les mauvais Ă©lĂ©ments du mĂ©tabolisme de la mĂšre le fƓtus joue le rĂŽle de poubelle car le corps de la mĂšre se dĂ©barrasse ainsi de ses substances toxiques. Sous sa forme mĂ©thylĂ©e donc organique, le mercure est beaucoup plus dangereux car il devient trĂšs soluble dans les matiĂšres grasses ainsi il est mĂȘme mieux stockĂ©, peut passer dans le fƓtus et mĂȘme traverser la barriĂšre hĂ©mato-encĂ©phalite pour se loger dans le cerveau. Nous avons reçu dans notre association la visite d’une personne qui chiffrait 1 154 ”g/mÂł de vapeur de mercure aprĂšs 10 minutes de mastication d’un chewing-gum, soit 23 fois la dose maximale tolĂ©rĂ©e ! Dix fois la dose, voire plus, est chose courante dans la population
 A titre de comparaison, la loi exige la fermeture d’un local public Ă  partir de 50 ”g/mÂł ! Le transfert de mercure de la mĂšre au fƓtus est aujourd’hui la premiĂšre cause de l’intoxication aux mĂ©taux lourds des enfants. Par consĂ©quent, pendant votre grossesse, surveillez votre alimentation et Ă©vitez tout aliment contenant des mĂ©taux lourds voir plus haut. Evitez Ă©galement de prendre des mĂ©dicaments et, si cela est indispensable, contrĂŽlez bien le contenu de ceux-ci. Il est temps d’informer les futurs parents sur les possibilitĂ©s de prĂ©parer leur organisme pour un nettoyage prĂ©ventif des mĂ©taux lourds. MĂ©thodes qui devraient ĂȘtre instaurĂ©es d’urgence devant l’ampleur des maladies et des troubles chez les nourrissons - Analyse des mĂ©taux lourds il existe des analyses pour dĂ©tecter la prĂ©sence de mĂ©taux lourds dans les tissus ; par contre, la prĂ©sence de mercure est trĂšs difficile Ă  dĂ©tecter si le contact a eu lieu depuis trois mois ou plus. MĂȘme avec la prise d’un chĂ©lateur substances capables de dĂ©loger les mĂ©taux lourds du corps, l’analyse de selles ne va pas nĂ©cessairement indiquer la prĂ©sence de mercure. - Analyses de cheveux, d’urine et de selles une analyse de cheveux peut indiquer la prĂ©sence de mĂ©taux lourds mais pas la prĂ©sence de mercure si l’exposition date de plus de trois mois. Par contre, cette mĂȘme analyse indique l’équilibre des minĂ©raux pour mieux individualiser les besoins nutritifs de l’individu. Les analyses d’urine et de selles sont utilisĂ©es pour mesurer le taux d’élimination des mĂ©taux. L’excrĂ©tion du mercure se fait principalement par les selles. Pour cette raison, il est prĂ©fĂ©rable d’utiliser l’analyse de selles pour mieux suivre la chĂ©lation du mercure l’absence, ou la prĂ©sence en bas des limites, de mercure dans l’urine ou les cheveux n’est pas pour autant un indicateur de l’absence de mercure dans les tissus. L’analyse d’urine, comme l’analyse de cheveux, est utilisĂ©e pour s’assurer de l’équilibre des minĂ©raux et aussi pour vĂ©rifier l’état des reins pendant la chĂ©lation. LA CHELATION ELIMINER LES METAUX LOURDS Avant d’entreprendre un traitement de chĂ©lation des Ă©taux lourds, il convient en premier lieu de s’assurer, au moyen de tests divers, si l’on est oui ou non intoxiquĂ©. Si la rĂ©ponse est oui, il faudra d’abord engager une rĂ©forme alimentaire spĂ©cifique, dĂ©barrassĂ©e de tout aliment ou agent toxique et ensuite, le cas Ă©chĂ©ant, se faire retirer, par un dentiste spĂ©cialement formĂ© pour cela, ses amalgames dentaires, source majeurs d’intoxication de l’organisme par le mercure. Ensuite seulement peut commencer la chĂ©lation proprement dite. Elle sera accompagnĂ©e d’une prise de complĂ©ments et minĂ©raux ciblĂ©s pour reconstituer rapidement eu Ă©tat optimal de santĂ© et d’un suivi mĂ©dical. Il n’existe pas un seul et unique protocole universel pour faire la chĂ©lation du mercure et autres mĂ©taux lourds. Pour cette raison, il faut porter une attention particuliĂšre Ă  l’état de la flore intestinale. Une fois de plus, l’approche globale est nĂ©cessaire pour bien comprendre le problĂšme et viser la meilleure solution face Ă  l’agression que constitue la chĂ©lation. Parce que la chĂ©lation est une insulte massive, elle chĂ©late aussi tous les bons minĂ©raux. 1-Tests pour dĂ©tecter l’intoxication par le mercure L’empoisonnement par la plupart des mĂ©taux lourds est facilement dĂ©tectable par des analyses sanguines. Par exemple, si une personne a du plomb dĂ©tectable dans le corps, elle aura aussi une certaine quantitĂ© de plomb dĂ©tectable dans le sang. En fait, l’étalon pour la dĂ©tection d’un empoisonnement par la plupart des mĂ©taux traces est l’analyse du contenu intracellulaire Ă  partir des globules rouges. Les niveaux de mĂ©taux traces dans les cheveux et l’urine reflĂštent gĂ©nĂ©ralement ceux du sang. Se dĂ©barrasser de la plupart des mĂ©taux traces, tels que le plomb, au moyen d’agents chĂ©lateurs, n’est pas difficile et la frĂ©quence, ainsi que la quantitĂ© donnĂ©e posologie n’affectent pas le rĂ©sultat du traitement. En effet, la plupart des mĂ©taux traces se rĂ©partissent dans le corps en un Ă©quilibre relativement Ă©gal entre leurs sites de stockage prĂ©fĂ©rĂ©s et le courant sanguin. Ce n’est pas le cas du mercure. AprĂšs une exposition, on n’en trouve un niveau dĂ©tectable dans le sang que pendant une courte durĂ©e, de l’ordre de quelques semaines Ă  quelques mois, parce que le mercure, Ă  moins qu’il ne soit Ă©liminĂ©, se lie rapidement aux enzymes par le groupe soufrĂ© thiol des cystĂ©ines, acides aminĂ©s Ă©galement prĂ©sents dans de trĂšs nombreuses protĂ©ines qui aimantent » littĂ©ralement le mercure et les mĂ©taux traces en gĂ©nĂ©ral. Cette liaison peut devenir covalente, donc trĂšs forte, si la cystĂ©ine rĂ©agit avec du mĂ©thyl-mercure ou de l’éthyl-mercure. Ainsi, si un certain laps de temps s’est Ă©coulĂ© aprĂšs une importante exposition au mercure, on dĂ©tectera peu, si ce n’est pas du tout, de mercure dans le sang, l’urine ou les cheveux. La seule façon de dĂ©tecter directement le niveau mercuriel prĂ©sent dans le foie, les reins, l’appareil gastro-intestinal et le cerveau passe par la biopsie de ces organes. Cette procĂ©dure n’est ni faisable ni recommandĂ©e. A cĂŽtĂ© de cela, la vĂ©ritable question n’est pas de savoir combien il y a de mercure, mais Ă  quel point le patient est rĂ©ellement intoxiquĂ© par le mercure. Aucune personne, mĂȘme la plus intoxiquĂ©e au mercure, ne prĂ©sente simultanĂ©ment toutes ces anomalies. Certains signes de toxicitĂ© mercurielle affectant le cerveau et le systĂšme immunitaire peuvent ĂȘtre trouvĂ©s Ă  l’examen physique. En voici ci-dessous, parmi beaucoup d’autres anomalies, une liste partielle -pupilles dilatĂ©es, -transpiration des pieds et des mains, -rĂ©flexes pathologiques – gĂ©nĂ©ralement rĂ©flexes de Babinski, -saccades trĂšs rapides des genoux, -lĂ©gĂšre Ă©sotropie, -Ă©ruptions, eczĂ©ma, -rythme cardiaque Ă©levĂ©. A cause de la cinĂ©tique du mercure dans le corps, on n’observe pas de taux mercuriels Ă©levĂ©s dans les cheveux, le sang, les globules rouges ou les urines, Ă  moins que l’exposition au mercure ait Ă©tĂ© rĂ©cente. Un test de mobilisation » compte rendu chiffrĂ© de la chĂ©lation utilisant n’importe quel mĂ©dicament chĂ©lateur n’a aucune utilitĂ© mĂ©dicale, sauf s’il est nĂ©cessaire pour convaincre une compagnie d’assurance de payer le traitement. Et certaines compagnies d’assurance refuseront de payer le traitement, mĂȘme si le test est positif ». Un test de mobilisation montre simplement que le sujet excrĂšte du mercure et la quantitĂ© excrĂ©tĂ©e, sauf si elle est trĂšs importante, ne sert en rien Ă  prouver l’intoxication. De plus, mĂȘme ceux qui excrĂštent trĂšs peu de mercure en rĂ©ponse Ă  une mobilisation, peuvent ĂȘtre trĂšs intoxiquĂ©s par le mercure Leur mercure peut ĂȘtre si fortement liĂ© Ă  diffĂ©rents systĂšmes enzymatiques, par liaison covalente dans diffĂ©rents organes, que seule une trĂšs petite quantitĂ© sera chĂ©latĂ©e dĂ©logĂ©e pendant la courte pĂ©riode du test de mobilisation. TrĂšs souvent, on trouve des taux Ă©levĂ©s d’oligo-Ă©lĂ©ments dans le sang et les cheveux chez les personnes intoxiquĂ©es au mercure. Pour un praticien non expĂ©rimentĂ©, l’intoxication aux mĂ©taux lourds pourrait signifier que le patient est en bonne santĂ©. Il n’en est rien, car le mercure et les autres mĂ©taux toxiques chassent les oligo-Ă©lĂ©ments appelĂ©s aussi cofacteurs, indispensables au fonctionnement des enzymes. Ces Ă©lĂ©ments chassĂ©s des cellules n’ont plus d’utilitĂ© ou trĂšs peu car le mercure a pris leur place. Il vaut mieux, et de loin, se fier aux signes trouvĂ©s Ă  l’examen physique et aux anomalies d’analyses coproporphyrines, acides gras et minĂ©raux membranaires ou Ă©rythrocytaires par exemple pour un diagnostic correct. 2-Avant la chĂ©lation le nettoyage alimentaire Pour ĂȘtre optimal, le changement alimentaire doit inclure des combinaisons alimentaires individualisĂ©es selon l’ñge, le sexe, l’activitĂ© physique, l’état de santĂ©, etc. Si, en plus, la personne Ă©carte de son alimentation les pesticides et toutes les molĂ©cules de synthĂšse colorants, arĂŽmes, agents de conservation, etc. la chĂ©lation sera plus efficace, puisqu’elle se concentrera sur les vieilles toxines au lieu de devoir travailler en mĂȘme temps avec de nouvelles toxines. Les organes d’excrĂ©tion sont la peau, les poumons, les reins et l’intestin. Le foie a un rĂŽle primordial puisqu’il mĂ©tabolise toutes les toxines. Plus la personne est intoxiquĂ©e, plus le foie est touchĂ©. Avent de relĂącher par chĂ©lation une charge de mĂ©taux lourds, il faut s’assurer qu’ils ne sont pas simplement mis en circulation et qu’ils ne changent pas tout simplement de place ! Il faut s’assurer aussi que tous les organes d’élimination sont opĂ©rationnels. Ce nettoyage alimentaire est indispensable pour prĂ©parer l’organisme Ă  mieux se dĂ©fendre contre l’arrivĂ©e massive des mĂ©taux traces dans les Ă©monctoires provoquĂ©e par la dĂ©pose, le cas Ă©chĂ©ant, des amalgames dentaires et au traitement de chĂ©lation si vous avez dĂ©cidĂ© de l’entreprendre. 3-la dĂ©pose des amalgames dentaires La dĂ©pose des amalgames doit se faire seulement chez un dentiste spĂ©cialement Ă©quipĂ©, pour ce travail dĂ©licat, d’une digue de caoutchouc et d’un masque spĂ©cifique de protection – pour ne pas vous larguer » du mercure ou tout autre mĂ©tal dans l’organisme pendant le travail dentaire. D’autre part vous prendrez, en plus du charbon, avant et aprĂšs la dĂ©pose, du sĂ©lĂ©nium afin que votre foie ne reçoive pas de choc qui, quelques jours plus tard, ferait empirer vos symptĂŽmes sans que vous ne pensiez un seul instant que tout cela vienne de votre dentiste ! 4-la chĂ©lation proprement dite les chĂ©lateurs chimiques les plus courants sont le DMSA, le DMPS et l’EDTA. Les reins sont rapidement agressĂ©s si la chĂ©lation n’est pas bien suivie. Il est impĂ©ratif d’apporter un supplĂ©ment de minĂ©raux les jours suivant la chĂ©lation et de mettre l’accent sur les minĂ©raux qui manquent le plus, particuliĂšrement le zinc, indispensable Ă  la synthĂšse des enzymes digestives. La chĂ©lation des mĂ©taux avec l’EDTA, le DMSA et le DMPS s’étale sur une longue durĂ©e. Il est recommandĂ© d’utiliser de la vitamine C Ă  forte dose, du glutathion et de l’acide lipoĂŻque, trois excellents neutralisateurs de tous les radicaux libres. La mĂ©latonine est recommandĂ©e pour les adultes, quoique des spĂ©cialistes de l’autisme et autres troubles du dĂ©veloppement chez l’enfant l’utilisent aussi avec beaucoup de succĂšs sur de jeunes enfants. Le citrate de potassium est un autre chĂ©lateur, utilisĂ© comme supplĂ©ment alimentaire pour corriger certains problĂšmes de santĂ© systĂšme nerveux, rythme cardiaque, maladie cardio-vasculaire, pression sanguine, sĂ©crĂ©tions hormonales, contractions musculaires, prĂ©vention pour l’attaque cĂ©rĂ©brale, etc.. il est aussi un agent alcalinisant contrĂŽleur du pH. Il ne faut pas oublier la chĂ©lation orale naturelle. La mĂ©decine orthomolĂ©culaire a une longue liste de supplĂ©ments et de plantes chĂ©latrices et captrices de radicaux libres. LA JEUNESSE N’EST PAS FAITE POUR SOUFFRIR Nous, parents, qui souffrons pour notre enfant qui fait preuve de violence, qui a des problĂšmes scolaires, de concentration et qui nous pousse Ă  bout, aidons-le ! Offrons-lui cette chance de le soigner ! GrĂące aux analyses spĂ©cifiques, au changement alimentaire individualisĂ© et aux complĂ©ments alimentaires et huiles essentielles, nous pouvons le dĂ©sintoxiquer afin de rĂ©tablir son mĂ©tabolisme pour que ses neurotransmetteurs fonctionnent bien et assurent parfaitement la transmission des informations et la liaison entre les cellules. Mettons tout en Ɠuvre pour qu’il ait une belle jeunesse, qu’il devienne un adulte sain, sans problĂšmes sexuels liĂ©s aux stĂ©roĂŻdes hormones sexuelles ou Ă  la libido, qu’il soit bien dans sa peau, ni dĂ©pressif ni violent verbalement et/ou physiquement, qu’il ait une vie privĂ©e et professionnelle active, au lieu d’ĂȘtre d’une part rejetĂ© par certains et, d’autre part, Ă  la charge de la sociĂ©tĂ©. Je souhaite Ă  tous les parents de voir comment on peut mĂ©tamorphoser son enfant, avoir une autre vie faite de douceur, de plaisirs dans les Ă©changes, de rires et non de cris et de violence avec des enfants frustrĂ©s et malheureux, voire enfermĂ©s en institution sous mĂ©dicaments psychotropes qui leur gĂąchent et cachent leur vraie personnalitĂ©. Nous pouvons Ă©videmment nous limiter Ă  une psychothĂ©rapie ou Ă  une thĂ©rapie qui pourrait l’aider Ă  vivre avec ce mal ĂȘtre ». Mais pourquoi ne pas lui donner plus un traitement qui va Ă  la source de ses vrais problĂšmes ? Nous avons finalement tout en main pour sauver nos enfants et nous adultes mais in ne faut rien entreprendre sans que cela n’ait Ă©tĂ© minutieusement prĂ©parĂ© au prĂ©alable. Tout d’abord, trouver un mĂ©decin ou thĂ©rapeute qui puisse Ă©tablir la liste d’analyses Ă  faire. Ensuite seulement, aprĂšs un diagnostic prĂ©cis, si une intoxication aux mĂ©taux lourds est Ă©vidente, entreprendre les dĂ©marches, comme dĂ©crit plus haut, pour leur chĂ©lation, en parallĂšle avec un changement alimentaire et une minĂ©ralisation adaptĂ©s aux besoins. [edit]-Message editĂ© par manon le 200 Time 19 mn 34 / [1/1] Mercure Faut-il se dĂ©sintoxiquer ? Encore un sujet tabou ! S’il est de plus en plus Ă©tudiĂ© et commentĂ© par les naturopathes ou les mĂ©decins de santĂ© naturelle, il reste peu attractif pour de nombreux mĂ©decins conventionnels. Sophie Benarrosch nous l’avait rappelĂ© dans son livre A la recherche de ma santĂ© perdue » la plupart des mĂ©decins qu’elle a croisĂ©s dans son parcours de patiente ne pensaient pas que les mĂ©taux lourds pouvaient avoir un effet amplificateur sur la maladie de Lyme. Pourtant, c’est lorsqu’elle a commencĂ© Ă  se dĂ©sintoxiquer qu’elle a vu son Ă©tat de santĂ© s’amĂ©liorer. Et de nombreux patients tĂ©moignent dans le mĂȘme sens. Il est particuliĂšrement regrettable que les mĂ©decins classiques » ne s’intĂ©ressent pas davantage Ă  l’intoxication aux mĂ©taux lourds pour deux raisons √ D’abord une bonne prise en charge du patient permet d’obtenir d’excellents rĂ©sultats. √ Ensuite, la dĂ©sintoxication aux mĂ©taux lourds est une dĂ©marche dĂ©licate qui demande un suivi attentif et peut provoquer des consĂ©quences graves pour la santĂ©. Dans la plupart des cas, il est plus prudent qu’un mĂ©decin suive le cheminement du patient. Et il est donc urgent qu’il puisse se former mieux Ă  cette thĂ©matique. Vaccins – Mercure & Aluminium L’exemple du mercure Je vous donne un exemple que tout le monde a vĂ©cu, personnellement ou dans son entourage. Pendant longtemps, les amalgames dentaires contenaient du mercure. Cette pratique sera bientĂŽt interdite chez les femmes enceintes en Europe et n’est dĂ©jĂ  plus appliquĂ©e par de nombreux dentistes. Le problĂšme vaut Ă©videmment pour les dentistes eux-mĂȘmes Ă  poser toute la journĂ©e des plombages au mercure, ils risquent de s’intoxiquer. Une dentiste enceinte doit donc faire particuliĂšrement attention. Sa santĂ© et celle de son enfant peuvent ĂȘtre dĂ©gradĂ©es Ă  cause des mĂ©taux prĂ©sents dans les amalgames dentaires. Pour autant, un grand nombre de patients ont encore des plombages » au mercure et autres mĂ©taux. Le problĂšme est que ces amalgames Ă©mettent des vapeurs de mĂ©taux qui intoxiquent le corps. Il n’est cependant pas toujours prĂ©fĂ©rable de les faire enlever car le risque d’intoxication Ă  ce moment-lĂ  est Ă©levĂ©. Or, les dĂ©gĂąts causĂ©s par une intoxication directe au mercure peuvent ĂȘtre considĂ©rables. Si votre systĂšme immunitaire parvient Ă  gĂ©rer » le mercure, cela peut valoir la peine de garder les amalgames. La dĂ©cision est de toute façon Ă  discuter avec le dentiste et le mĂ©decin. L’intoxication au mercure peut ĂȘtre causĂ©e par d’autres situations. On en trouve parfois dans les fruits de mer. Ces derniers sont excellents pour la santĂ©. Il est dommage de s’en priver. En revanche, il est utile d’en connaĂźtre la provenance et de s’assurer auprĂšs de son poissonnier qu’ils proviennent d’une zone non polluĂ©e. On peut encore trouver du Thiomersal mercure dans certains vaccins. Des scientifiques, comme le Pr Boyd Haley, ont vigoureusement critiquĂ© la prĂ©sence de ce mĂ©tal en tant qu’adjuvant dans les vaccins. Pire encore, on en trouve Ă©galement comme conservateur dans certains mĂ©dicaments. Les scientifiques s’intĂ©ressent Ă  trois facteurs aggravants concernant le mercure et les mĂ©taux lourds √ Le cumul des doses reçues plus on est exposĂ©, plus le risque est grand. √ Le cumul des diffĂ©rents mĂ©taux y a-t-il des interactions entre diffĂ©rentes intoxications ? √ La taille des particules de mĂ©tal et leur circulation dans le corps. Les travaux du Pr Romain Gherardi sur ce point sont dĂ©terminants. Il pose l’hypothĂšse d’un lien entre l’aluminium dans les vaccins et une maladie rare mais invalidante la myofasciite Ă  macrophages. Ici se pose Ă©galement la question de savoir si les mĂ©taux peuvent intoxiquer le cerveau et avoir de ce fait des consĂ©quences graves sur la santĂ© de certaines personnes maladies auto-immunes ou autres. Air – Pollution Les diffĂ©rents mĂ©taux en cause Le mercure n’est pas le seul mĂ©tal incriminĂ©. On parle depuis plusieurs annĂ©es de l’aluminium prĂ©sent dans de nombreux produits, comme les dĂ©odorants. LĂ  encore, de nombreux scientifiques s’en mĂ©fient de plus en plus. Et il y en a d’autres Plomb. Arsenic. Cadmium. Antimoine. Argent. Baryum. BĂ©ryllium. Bismuth. Étain. Nickel. Platine. Thallium. Ces mĂ©taux lourds sont prĂ©sents dans l’eau que nous buvons, l’air que nous respirons, l’alimentation, les cĂ©rĂ©ales, les mĂ©dicaments, les vaccins, les piles et batteries, certaines ampoules, les cosmĂ©tiques, les teintures pour les cheveux, les plastiques, certaines peintures, les solvants, les produits mĂ©nagers, les engrais, etc. Eau du robinet – MĂ©taux lourds Sont en cause, la qualitĂ© des sols, nos modes de vie, les procĂ©dĂ©s de fabrication de nombreux produits,
 Heureusement, notre corps est capable d’en gĂ©rer une partie. Mais quelle est la limite ? Et, surtout, sommes-nous tous Ă©gaux devant une possible intoxication ? Chemtrails – Aluminium, Baryum & Strontium La problĂ©matique des mĂ©taux lourds sur la santĂ© L’intoxication aux mĂ©taux lourds ne crĂ©e pas toujours un type dĂ©terminĂ© de maladie, sauf dans des cas prĂ©cis comme le saturnisme causĂ© par le plomb. En revanche, les mĂ©taux peuvent accentuer certaines maladies, les dĂ©clencher ou freiner le corps dans sa capacitĂ© de rĂ©action. Par exemple, l’électro sensibilitĂ©, maladie reconnue en SuĂšde, peut ĂȘtre considĂ©rablement renforcĂ©e chez des personnes intoxiquĂ©es aux mĂ©taux lourds. Dans la maladie de Lyme ou dans l’autisme, une dĂ©sintoxication peut avoir un effet bĂ©nĂ©fique considĂ©rable sur la santĂ© du patient. Source VidĂ©o [1] ConfĂ©rence Dr Klinghardt Ă  Zurich en 2001- 6 – Regisdanse / Dailymotion Photo Pour illustration une erreur critique est survenue sur votre apprendre plus sur le dĂ©bogage de WordPress.

liste des médecins pour désintoxication des métaux lourds